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02/02/2012

Contraste

Il y a tout juste une semaine, je vous adressais ici-même un bouquet de mimosa cueilli à Saint Aygulf.

Aujourd'hui, ma provende photographique se teinte de blanc…

Les fleurs de coton blanches qui se sont déposées inlassablement mardi sur notre colline ne sont pas moins impressionnantes.

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Par la magie d'un ciel neigeux, notre vie a basculé dans le Noir et Blanc.

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Notre acuité visuelle perd sa palette habituelle, nos perceptions de couleur et de relief se sont amenuisées sur l'écran mouvant qui fascine nos regards:

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Notre petit peuple ne demande pas son reste: Copain et Guss se régalent.

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Frileux, nous regagnons nos tanières après un dernier regard sur un jardin prêt à s'effacer dans le crépuscule floconneux

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Événement rare dans notre chaumière, Géo a fermé les volets. Le paysage frigorifié  s'est doublement effacé de nos consciences toute la nuit.

Au matin, Résurrection

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Dès 8 heures, une  chaleureuse palette de roses chasse les images de la veille.

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 Admirez la délicatesse des touches de couleurs:

 

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Apothéose!

 

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27/01/2012

Couleur hiver

Sainte Maxime sous un ciel plombé,   hier nous avons porté nos pas  jusqu’à la côte.  Rare ambiance d’hiver, un camaïeu de gris  engloutit  les reliefs du paysage, absorbe les sons, lisse la houle jusqu’à réduire la mer en un miroir statique.

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 Malgré les restaurants bondés, la ville est engourdie, figée sous l’effet d’un charme brumeux.

 

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Sur la jetée du port, les bateaux en hivernage ont laissé des trous, comme les dents de lait désertant un sourire d’enfant.

 

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Mais sous la gangue grise, il suffit de lever le nez.

 

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Au détour d’un virage, aux portes de la ville, les mimosas se parent, ils se pomponnent , prêts à déverser le soleil à pleines volées… Ils diffusent déjà  leur parfum dans l’atmosphère immobile. La profusion et la vitalité du printemps ne demandent qu’à éclater …

 

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24/01/2012

Clin d'oeil …

Ma note de ce matin n’était certes pas toute rose

Mais mon humeur n’est pas si morose.

Il m’importe d’adresser un clin d’œil complice

À une fidèle souris- lectrice

Qui souffle aujourd’hui  une nouvelle bougie.

Évelyne, si d’aventure  tu  passes  ici

Reçois ce témoignage d’amitié

Une pensée  douce en toute cordialité …

14/01/2012

Café-lecture

Bourgade provençale, Saint Maximin ne déroge pas à la tradition. Le coeur de l’agglomération reste  la place Malherbe, à deux pas de la Basilique et des petites rues médiévales. Comme il se doit dans la région, cette grande esplanade, conçue en quadrilatère ouvert, est bordée d’immeubles  sur trois côtés.  La frontière avec l’artère principale qui forme le quatrième côté est symbolisée par une fontaine centrale  à quatre pans, surmontée d’une colonne  pyramidale. Parallèles,     deux grandes allées de platanes centenaires ourlent les trottoirs principaux, diffusant l’été leur ombre bienveillante sur les  terrasses des trois cafés où s’abreuve l’essentiel de la clientèle touristique. À cette époque de l’année, malgré la douceur relative de l’hiver, les commerces baissent leurs rideaux très tôt. Quand je suis descendue hier soir, seules les enseignes lumineuses et mobiles des  deux pharmacies de la place  indiquaient la persistance d’une activité au sein de la ville. Quelques minutes avant dix-neuf heures, le Malherbe et la Renaissance, les deux établissements qui se font face au début de la place s’étaient endormis sous les halos orangers des réverbères. Le bar-tabac du centre, quant à lui, témoignait d’une activité anémique, nourrie d’allées et venues furtives de  fumeurs retardataires.

 

Au fond de la place toutefois, à l’angle du boulevard Bonfils et d’une minuscule ruelle à peine assez large pour les voitures, le  Cercle Philharmonique  est encore bien éclairé, derrière ses vitrines  anciennes et sa porte vitrée.  L’établissement paraît plus discret et vieillot que ses concurrents, à l’écart de l’activité générale.

Ce soir évidemment, personne ne s’attarde  auprès des trois tables abandonnées sur le semblant de trottoir. Mais à l’intérieur, une curieuse mise en scène attire le regard;  les guéridons marbrés ont été regroupés sur l’entrée de la salle et les côtés, ménageant un espace vide  entre deux piliers centraux et le comptoir de bois. Trois tabourets hauts sont alignés sur cette scène symbolique. Aux tables disposées en amphithéâtre, les participants à la soirée s’attablent, se hèlent, se lèvent pour saluer de nouveaux arrivants ou des connaissances déjà installées. Intimidée, je m’avance néanmoins bravement et me sens soulagée d’y reconnaître  aussitôt  les trois habitués qui m’ont conviée ce soir… Ouf, je suis aussitôt invitée à partager leur table, je suis ravie de cet accueil amical.

 

Assise devant ma boisson, j’ai encore le loisir d’observer l’endroit avant le début de la séance. La salle est assez grande pour accueillir la quarantaine d’assistants qui prennent place peu à peu aux différentes tablées. L’espace ménagé devant le comptoir est assez large pour donner lieu à des allées et venues sans bousculade. Tout en conversant, j’observe le local, sensible à l’aspect désuet du décor : une salle rectangulaire au plafond bas, des éclairages sans âge diffusent une lumière jaune, chaleureuse. Seule concession à la modernité, un large écran plat surmonte la porte d’entrée vitrée ; pour le moment, il est éteint, ce qui me semble de bon augure. Mais je suppose immédiatement que les jours où l’OM est de match, les footeux locaux ont sans doute leurs sièges réservés. 

À l’opposé, le comptoir de bois ferme la pièce. Derrière le meuble, un large miroir réfléchit les bouteilles et les verres, doublant d’office le volume des  flacons dispensateurs de bienfaits. Le percolateur et ses interminables gargouillis complètent l’équipement des lieux. Une jeune femme brune officie seule, tranquille, elle ne se départ pas de son calme malgré l’afflux des commandes, l’assistance s’empressant de faire provision de boissons avant le début de la séance…

Sur les murs adjacents, huit immenses miroirs encadrés de bois dorés se renvoient les éclairages. Mes yeux reviennent inlassablement sur une dalle de marbre gravée entre les deux premiers miroirs du mur qui me fait face. Elle porte les noms des morts au combat de la grande guerre. Sur deux colonnes, trente-huit noms ont été ciselés et dorés en mémoire des enfants du pays. Pourtant, il y a bien un monument aux morts dans la commune. La redondance marquée par cette plaque me fait tout à coup réaliser que ce café, dans lequel il ne m’était jamais venu à l’idée d’entrer, n’est pas un lieu public ordinaire. Quelque chose d’indicible exsude de ces murs : cette salle est le refuge des natifs, leur privilège, le lieu de rencontre des familles-d’-ici, de génération en génération. D’ailleurs, à l’approche de la jeune femme qui introduit le débat, quelques résidents permanents,    jusqu’alors ancrés au marbre de leur table,    se lèvent sans discrétion et règlent leur consommation en marquant d’une certaine nonchalance  leur réprobation de céder la place aux envahisseurs.

 

Car les intrus sont venus  assister ici à une lecture.

À l'initiative du Jardin des Lettres,  le Cercle Philharmonique de Saint Maximin héberge une fois par mois une lecture publique. Ces séances sont l’occasion de partager quelques pages d’un livre, souvent d’entendre l’auteur de l’œuvre choisie raconter lui-même les étapes de sa création,   et poser sa propre voix sur ses mots…

Ce soir-là, l’auteur élu était René Frégni, écrivain presque local puisqu’il vit à Manosque, et se rend volontiers dans les institutions scolaires de toute la région pour participer à l’émulation des lecteurs en herbe.

 René Frégni est un autodidacte, personnalité buissonnière écartelée entre vocation  pour les mots, révélée tardivement,   et volonté de transmettre, ce qui le conduit à animer des ateliers d’écriture jusque dans les prisons. Il aime d’ailleurs la fréquentation des marginaux délinquants, au point de s’être parfois laissé piéger par une ambiguïté créative. Personnage haut en couleurs, il est paraît-il grand séducteur devant l’Éternel et assez frondeur…

Malgré l’absence excusée de l’auteur, je me suis laissé  séduire par les passages de son dernier roman, la fiancée des corbeaux. L’ouvrage appartient à sa veine quasi autobiographique et se présente sous forme d’un journal. Notre groupe de lecteurs s’est habilement réparti les interventions pour donner un souffle particulier aux évocations  du récit, des réflexions intimistes sur la solitude du parent délaissé par le départ de sa fille, les joies simples de l’amitié, la beauté de la campagne du Verdon, la cocasserie de rencontres  inattendues. Sa langue est souple et ronde, méditerranéenne quand elle sert les paysages et les voluptés gustatives. Nos intervenants l’ont habilement servi sans jamais forcer le ton, alternant voix féminines et masculines, au gré d’un récit qui ne vagabonde qu’en apparence.

René Frégni est l’auteur de nombreux romans, certains de la même veine personnelle, d’autres s’inscrivant dans le genre policier… Ce qui n’exclut pas une connaissance du terrain. René Frégni a même connu les affres du suspect et le raconte dans un roman intitulé Tu tomberas avec la nuit.

Quant à moi, ravie de mon escapade littéraire et de ce moment privilégié, je sais que je n’oublierai certes pas d’aller fureter plus avant dans l’œuvre de ce romancier, et je ne manquerai pour rien au monde le prochain rendez-vous du café-lecture.

 

05/01/2012

Liseuse

        Finies les parures de fêtes, hier j’ai définitivement rangé les décors du sapin et les santons de la crèche. Le temps des agapes est révolu,   bulle de réjouissances crevée, parenthèse refermée, nous sommes rendus de force aux soucis d’un quotidien drapé dans sa morosité…

 

 

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- Tiens, tu donnes dans le flashy, maintenant ?

- Eh oui, le  High-tech tout  gris, ça ressemble aux couleurs de ce début d’année: de l’énergie dépourvue d’optimisme… Alors, puisque Papa Noël a  finalement déposé dans mes pantoufles MA liseuse,   la couleur Barbie de l’étui ajoute  cette pointe de fantaisie qui enveloppe les rêveries insouciantes et frivoles, enfin !!!…

 

- Ça ne te ressemble pas, m’a soufflé Nouchette, tu ne vas pas abandonner les vrais livres, les pages qu’on tourne, la couleur du papier, les formats d'éditions…

- Sans compter les libraires qui risquent d’y perdre plus que leurs âmes…

 

Un paradoxe de plus à assumer, cette liseuse me tentait bien. Depuis quelques mois, je furetais volontiers un peu  partout en quête d’avis au sujet de  ces tablettes miraculeuses. Pensez, des centaines, des milliers de livres à mots ouverts sous le miroir translucide d’un objet plus léger qu’un livre de poche !

Passant par l’une des enseignes spécialisées en produits High-tech, j’ai comparé de visu les dispositifs proposés. Effectivement, les tailles d’écran,   leur système d’éclairage, l’exclusivité de la fonction… Quel dilemme ! Sans compter l’accès à la bibliothèque numérisée, l’étendue des données…

J’ai lu chez certaine geek audacieuse, que je fréquente parfois sur la blogosphère, une sourde rébellion contre les e-biblothèques, érigées en forteresses détentrices de droits et de formats et  qui rendent leurs adeptes aussi prisonniers que ma p’te pomme  et l’infernal itunes. Mais  la  question déborde largement les querelles  de domaines réservés.

Les livres téléchargés via une plateforme électronique coûtent en moyenne 2/3 du prix d’un livre en version papier. Formidable pour tous les gros consommateurs, la différence de prix est substantielle. Le temps de téléchargement est ridicule, quasi instantané avec la liseuse que j’ai choisie, et donc j’ai le pouvoir de détenir une  bibliothèque universelle… Sans compter la gratuité concernant les œuvres des écrivains tombées dans le domaine public :  Tout Hugo et tout  Balzac archivés le temps d’un clic. Ça donne envie de relire Loti,   Jane Austen, Gide et Queffelec (Henri). Tiens, lui, il est passé de mode, il n’apparaît pas dans le répertoire du site.

 

Mais pour tous nos contemporains, qu’en sera-t-il en effet des droits d’auteur ?

Comment la filière de l’édition va-t-elle faire face à   un marché qui a explosé cette année , comme en témoigne le volume des ventes de tablettes.

Entrevue dès 2004, la bataille juridique fait rage, de Princeton à Bruxelles, on réfléchit sur les droits des auteurs, les exigences éditoriales, les structures de l’accès à la numérisation.

Pour ma part, comme le suggérait Nouchette, je ne me vois pas renoncer totalement au contact physique du livre. Mais je sais aussi que nous ne cessons d’évoluer. Il y a vingt ou trente ans, nous n’imaginions pas l’omniprésence du téléphone portable dans nos vies. Aujourd’hui, Allo compte parmi les premiers mots de Mathis … 

Encore une fois, c’est à chacun de  nous qu’il revient de faire la part des choses: réserver la liseuse électronique aux œuvres plus anciennes, et il n’en manque pas ; continuer de rendre visite à la librairie du quartier en préservant  la solidarité du lien humain dans notre environnement géographique.

Le débat est ouvert, la solution  nous appartient. Ce monde où nous vivons, après tout est le nôtre.

N’empêche, elle est pas belle ma Kindle ????

 

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 ,

31/12/2011

Douces Heures à venir…

Fin d’Année

Bilans égrenés, tous comptes faits

Humeurs oubliées

Prenez quatre Révolutions

Trois scandales ôtés de l’addition

… Et je retiens 2 propositions

 

Prenez encore 10 portions  de Meilleurs Voeux

Ajoutez la retenue

Empressons-nous de servir  1000 Douceurs et Vins succulents…

Pour faire bonne mesure

Tant que dure la fête  le temps file à pas lent

 

L’année se meurt, l’année s’efface,

Tombe dans l’ombre de  l’Oubli

Les traces de notre passage fragiles et fugaces

Appellent la lumière des éclairs,

Des cotillons aux paillettes éblouies

 

Comme passe le temps

Mais Toi tu es là

Regarde  devant  2012 t’attend…

 

 

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29/12/2011

Temps mort…

Noël, fêtes, vacances, amitié

lever de soleil sur Schönaich


Au coeur de la pause hivernale, pêle-mêle ces  quelques images pour accompagner les festivités, que je vous souhaite chaleureuses et harmonieuses…

 

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Marché de Noël à Stuttgart

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                                                                               La plus belle des fêtes…  

 

Bonne fin d'année à tous…

11/12/2011

Conte à rebours

 Noël, famille, préparatif fête, crèche

 

 Le compte à rebours est déjà enclenché pour beaucoup d'entre nous…

 N'empêche, même dans notre campagne, nos chiens apprécient la balade comme cadeau, quand il s'agit de vadrouiller dans la colline pour y chercher la mousse douillette qui accueillera nos santons.

 Rituels de Noël,  les préparatifs affinent nos envies et tournent nos coeurs vers cette attente toujours renouvelée. Ce n'est même plus le symbole religieux qui nous étonne, la sacralisation de Noël s'accroche davantage à l'idée que cette fois, la fête sera complète, l'harmonie au rendez-vous de nos espoirs, la crise reléguée à  notre foie et nos soucis digestifs… 

Les laideurs et les angoisses de nos actualités vont devoir se faire la malle, partout alentour il n'est question que de festins, de mets savoureux, de surprises affectueuses et de plaisirs délicats offerts sans retenue ni décompte mesquin.

 On voudrait tous incarner non pas cet  enfant démuni, promesse d’un monde nouveau,   mais le tout puissant Père Noël pour effacer le temps d’un conte les déboires d’un quotidien plombé.

Plus d’enfants contraints à naître dans la misère, à la merci de la première bronchiolite passant  dans l’atmosphère. Plus de malades qui n’auraient pour tout horizon qu’un lit d’hôpital et une guirlande de pilules, plus d’errants sans toits ni repas, plus de haine jetée au visage de celui ou celle qu’on a adoré. Dans les bons contes de Noël, les diabétiques peuvent s’empiffrer de crottes en chocolat sans que leur insuline réagisse, les dissensions familiales s’évaporent comme neige au soleil, nos tirelires ne désemplissent plus, … Et les méchants se repentent de leurs mauvaises actions. Voyez, cette année, de Durban à Bruxelles, la hotte du bon-papa Noël s’est emplie de Promesses. Soyez rassurées, fidèles souris-lectrices, cette année s’achèvera sur un fantastique feu d’artifice de serments et d’engagements , c’est juré, c’est promis, c’est certain, Ils ont compris, Ils ont décidé de nous apporter la solution, il ne leur manque que notre confiance…

Les promesses n’engageant que ceux qui veulent bien y croire, dormez bonnes gens, dormez sur vos deux oreilles, dormez dans la  douceur ouatée, le temps  que s’écoule ce Conte à dormir debout.