05/08/2010
Sur l'onde, côté Verdon
Au sommaire de cet été qui s’annonce perturbé par la triste nouvelle relatée précédemment, soutenons notre moral en considérant les moments agréables qui s’offrent en contrepoint.
La visite de nos Strasbourgeois, la semaine dernière, pour commencer…
Les temps changent, la nichée n’est plus si nombreuse, les deux « grands », Guillaume et Manu volent de leurs propres ailes, du moins pendant les vacances…
Malgré l’expression de Gerd, la situation n’est pas si terrible… En dépit du vent et du jeu dans la direction, Caroline contrôle!
Sa fille aux commandes, GéO apprécie, comme il se doit !
père et fils embarqué…
Origine du dicton: « fierrot comme un Alex !…
…Qui saura bien à son tour mener de main de Capitaine notre esquif dans le sens du courant.
Le sujet du jour nous ramène à une jolie balade en bateau électrique sur le Verdon, entre les lacs de Quinson et d’Esparron.
Depuis la création de la retenue par le barrage de Sainte-Croix, ces petits lacs annexes offrent un espace loisirs aquatiques en toute écologie : ne sont acceptées sur les flots que les embarcations propulsées par le vent, les bras ou les moteurs électriques.
Résultats, un tourisme nautique bon enfant et sportif permet de profiter des gorges du Verdon en toute liberté…Dans un environnement à couper le souffle :
Au rythme paresseux du moteur électrique, notre embarcation parcourt les 7 à 8 kilomètres du défilé en quelques deux heures et demie, ce qui laisse largement le temps d'admirer le paysage, d'apprécier le vol majestueux des rapaces qui ont reconquis le Parc naturel du Verdon, d'échanger des propos aimables avec d'autres équipages croisant sur les mêmes eaux…voire encore venir en aide à d'infortunés pagayeurs pour vider leur canoë submergé… Une véritable croisière aventureuse!
L’histoire du site est particulièrement riche.
N’oublions pas que Quinson abrite, outre son lac, ses restos et le plus grand musée préhistorique d’Europe, les basses gorges du Verdon, impressionnantes par leur caractère abrupt et sauvage ; Même malmenée par le vent comme ce jour-là, la nature verdoyante a colonisé les flancs escarpés; le défilé recèle d’autres surprises, comme ces grottes fameuses que nous avons tout loisir d’observer. Elles ont servi d’habitat, l’une d’entre-elles affiche toujours fièrement sa façade empierrée.
À fleur d’eau, ou en altitude :
Revenons aux humeurs de notre famille Canards : comme ces infatigables nageurs, la faim nous gagne, une halte déjeuner s’impose.
Naturellement GéO a bien prévu une glacière de boissons, eaux pour tous les goûts, rosé et p’tit blanc de la cave Saint Jean, l’échantillonnage des boissons est complet, mais les vivres consistants ( Maître mot chez nos Alsaciens!!!) viennent à faire cruellement défaut ! Vaillamment, On essaie de consoler la troupe et de lui donner du courage en évoquant le dîner de la veille et surtout les agapes prévues le lendemain, il n’en demeure pas moins que… Les restaurants promis à Esparron jouent à cache-cache! Au bord de l’eau, il ne faut pas songer à se sustenter, pas le moindre établissement en odeur de collation.
- Si si, ils sont en haut, nous crie gentiment le préposé aux appontages.
Il est deux heures, la faim a creusé de grands trous, que dis-je, des abîmes, dans nos estomacs, nos jambes manquent de force devant les sentes pentues qui mènent à ce qui nous semble le cœur de la civilisation. Nos déceptions enflent à mesure que nos ventres gargouillent, réclamant d’urgence même un quignon, quand Caroline nous sauve la mise en dénichant le villageois compatissant qui a l'amabilité de nous mettre sur la bonne voie… Miracle, même à Esparron, le service se déroule non-stop dans la petite cité qui, sur son piton rocheux, n’est endormie qu’en apparence …
15:48 Publié dans Blog, goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : journal, écriture, famille, verdon, provence, quinson, esparron | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
18/07/2010
Doigts de pieds en éventail
Allez savoir pourquoi mes pensées estivales imposent l’image d’orteils largement écartés, frémissant doucement sous la caresse de l’air brûlant, au bout de la chaise longue, s’émoustillant de plaisir dans les reflets étincelants de la piscine…
Cette partie de notre corps que sa fonction enserre habituellement dans les chausses contemporaines, bottes, souliers ou pantoufles, profitons, profitons des ardeurs de saison pour la réhabiliter, la soigner, la pomponner, l’exposer à nos regards et notre sollicitude.
C’est qu’il en faut des soins pour entretenir et ménager nos appuis.
Avec le temps, nos tendres arpions ont souffert mille tortures, hauts talons, formes étroites ou trop larges, bouts pointus, frottements du talon… Ah comme les pieds féminins portent plus que tout autre membre les marques ostensibles du diktat de la mode. Et quand se manifestent les stigmates des souffrances infligées, il est trop tard, les élégantes de jadis doivent considérer comme biens acquis les bosses disgracieuses qui déforment la ligne du coup de pied…
Résignation de la maturité, le prix à payer pour tant de petits pas pressés, des trottoirs urbains aux planchers des magasins et des bureaux, des bitumes de cours de récréation au parquet des musées, des chaussons de danse aux chaussures de ski et les kyrielles de traitements négligents au fil des années à l'égard de si petits fragments d’os et de muscles.
Pensée du jour : Apprendre à s’aimer comme on est, et comme on devient.
Considération estivale qui ne saurait nous distraire de l’admiration inconditionnelle pour les éclats du monde alentour captés au fil des balades. La semaine dernière, excursion gastronomique et qualitative avec Marie-Geneviève sur le plateau de Valensole où les lavandes n’étaient pas encore coupées… Chatoiement des couleurs, ce sont de véritables tableaux que recueille notre regard: une mer mauve qui se noie au rivage des frondaisons.
L’été allonge les soirées à peine rafraîchies succédant à l’incandescence de la journée, scandée de haltes autour des refuges ombragés. Quand arrive enfin le ravissement de la voûte étoilée clignotant sur les bains de nuit d’avant sommeil, nous attendons avidement les courants d’air nocturnes peinant à caresser nos corps fatigués. Nous sommes entrés brutalement dans l’ère des mouvements ralentis, des efforts comptés, des bouffées humides qui transforment nos visages en fontaines éplorées. Alors, nos yeux cherchent les promesses de fraîcheur et nous nous plongeons dans les couleurs du lac, la turquoise des eaux de Sainte Croix, la transparence de l’onde chargée d’espoir de sensation comme d’une renaissance…
Sa majesté l’Été est de retour et nos orteils libérés se parent de couleurs …
Pourquoi donc ne pas entamer une collection de pieds ?
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27/06/2010
Pêle-mêle
« Hum, depuis l’échouage du voilier, la plume de gouttesdo ne s’est guère mouillée ! »
Petit rappel à l’ordre matinal de GéO qui, comme les plus fidèles d’entre vous ( si, si les stats disent qu’il y en a !) s’enquiert de temps à autre d’une éventuelle nouveauté. En consultant les dates, je dois bien me rendre à l’évidence. Plus d’un mois depuis la dernière note, ça n’affiche pas la vaillance des jours inspirés ! Me serais-je échouée avec le voilier sur les plages de l’inspiration ?
Ce n’est pourtant pas la plume de gouttesdo qui sèche lamentablement devant le clavier. Ce sont les événements de notre petite vie tranquille qui se bousculent allègrement et nous propulsent dans le mouvement général. Rassurez-vous bien vite, petites souris lectrices, pas de déprime avachie sur le divan du foot national. Les misères du ballon rond m’indiffèrent profondément…
Histoire de rattraper ma désertion épistolaire, je me lance derechef à la poursuite du temps passé en vous exposant pêle-mêle les éclats de soleil qui ont enrichi ces dernières semaines :
D’abord, le Grand Album pour célébrer à la fois l’anniversaire de ma Douce et la venue prochaine du BB, premier de sa génération dans les deux familles. D’où mon idée, en dénichant parmi les trésors de la Java de Julie un album d’apparence cahier sous la IIIème République…
Quelques échanges de mails et des recherches complices promptement menées
m’ont permis de récolter assez de clichés anciens pour préparer mon album selon la thématique de l’accueil : chaque membre de la famille aura sa page réservant une comparaison avec notre nouveau venu. Lequel s’appelle encore M comme Mystère, car si l’Ange est sexué, Il n’est pas encore prénommé… Suspense !
Les heures passées sur ce projet ont été largement récompensées par l’émotion et la joie de nos futurs parents.
Mon travail n’était pas même achevé lorsqu’Audrey et Seb sont arrivés. Quelques séances matinales de rattrapage afin de terminer clandestinement, et le grand jour a sonné !
Séjour riche d’émotions et de bonheur. Il y a plus de deux ans, j’ouvrais Gouttesdo sur le plaisir subtil et la joie de fêter les anniversaires des deux amies au cours d’un week-end escapade à Porquerolles. Cette année, le même événement les réunit autour de la piscine, appliquées cette fois encore à la même tâche : protéger, abriter, nourrir et laisser pousser leurs habitants respectifs, bref, en un mot, elles couvent !
La maison est devenue halte-pouponnière quand Stéphanie et son ami nous ont rejoint : mêmes silhouettes étrangement dissymétriques, même ralentissement de la démarche, même langueur du canapé aux transats autour de la piscine…
Du coup, les conversations relativement monopolisées sur les événements heureusement prévus pour Septembre, mon grade nouvellement acquis nécessite concrétisation… Nous avons vécu de grandes retrouvailles avec les aiguilles à tricoter; rassurez-vous, je garde le résultat pour moi!
***
Enchaînons plutôt avec l’apparition fugace d’Yvonne de Gallais…
Impression trompeuse car la forêt alentour ceint la clairière du Mesnil Théribus, dans l’Oise. Et les agapes ont libéré autour du Punch les saveurs martiniquaises dans l’ambiance des danses antillaises.-
Du Grand Meaulnes au charmes coloniaux de plantations outre-mer, un véritable dépaysement sous un soleil tempéré…
***
D’une fête à l’autre, il nous a fallu rentrer bien vite pour préparer la suivante : le partage de mes sixties avec nos émigrés Montmeyannais… Nouvelle variation de rires et d’insouciance le temps d’oublier les inondations catastrophiques du début de semaine…
Prendre le temps de se retrouver, de reprendre le fil de nos jours…Dans l’attente imminente des prochains visiteurs.
Cette fois, l’été s’installe pour de bon…
Ce bouquet destiné aux heureux récipiendaires du jour : Marie-Jeanne, Philippe et Jean Claude, tous trois accédant ce jour à l’année supérieure, Hourra pour eux !
13:14 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journal, nouvelles, mariage, anniversaire, vie de famille | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
16/05/2010
Échoué…
Impatiences et désagréments de ce printemps, décidément .
Pas de baignades encore, malgré le système de chauffage-piscine, inopérant sous le ciel couvert, bouillonnant d'orages …
Depuis deux jours, cependant, le soleil a recouvré quelques ardeurs…tempérées par un vent d’ouest glacé. Attentif malgré tout, GéO note ce matin 20,6° sous la bâche à bulles… Le vent a peu d’incidence sur les galettes de tuyaux noirs qui chauffent l’eau, à même le toit du Poulousse.
Plus significatif encore, nos balades en mer sont au point mort. Hormis la sortie avec Philippe et ses enfants, les conditions météo ne sont guère motivantes.
Ce beau Ketch drossé sur les écueils attire les regards.
S’il repose alangui sur les hauts fonds bordant le cap des Sardinaux, la manœuvre n’a pas été volontaire, on s’en doute. À l’est de Sainte Maxime, cette pointe rocheuse sépare les plages de la Madrague de celle de la Nartelle et constitue, côté mer, un territoire poissonneux, très fréquenté par les plongeurs et les pêcheurs. Le revers est qu’il reste extrêmement dangereux pour la navigation, comme en témoigne le cliché Google, où les écueils se devinent à l’oeil nu, même vu du ciel.
Nous y naviguons quelquefois, quand GéO est d’humeur pêcheuse… Mais nous connaissons la carte des hauts fonds et les multiples écueils qui saillent à peine de la surface. Parfois, c’est une simple crête d’écume qui signale la présence du rocher… Il s’agit donc de rester vigilant, surtout quand le bateau flotte en dérive. La moindre risée pousse la coque proéminente et le bateau glisse rapidement sans que l’effet soit perceptible autrement que par l’observation incessante des points de repères.
Dans le cas de ce voilier qui doit bien faire 26 mètres, nous ne pouvons que supposer qu’il mouillait bien plus loin, sa quille lui interdit d’approcher trop près. L’équipage a-il été surpris par le coup de vent ? Défaut de vigilance, manœuvre trop risquée, méconnaissance du relief côtier, la leçon est rude.
Au port, ce week-end de l’Ascension marque le retour d’une intense activité : tous les plaisanciers fourbissent leurs équipements, les ponts ruissellent sous les balais brosses et les jets d’eau, les cales ouvertes exposent les moteurs gras et noirs… Je regarde avec circonspection le carré du Leyla, les équipets recouverts de la crasse grasse de l’hiver… Eh oui, malgré ce vent glacial qui fait mal aux oreilles, il va bien falloir retrousser nos manches et nous lancer dans l’astiquage. À force de faire comme si, le beau temps finira bien par nous rattraper!
12:50 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : écriture, sainte maxime, journal, échouage, bateaux, plaisanciers | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
05/05/2010
Saints Glacés…
Lieux communs de saison abondent…
Ce matin, GéO s'est investi dans une petite enquête de fond, histoire de remettre à jour le dicton préféré de bien des jardiniers. Comme il a éclairé ma lanterne, je vous transmets in extenso* le fruit de sa recherche, cela vous permettra de patienter, petites cigales alanguies qui attendez les prochains rayons du soleil pour chanter…
16:17 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nature, climat, jardin, journal | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
04/05/2010
Envie d'y croire…
La météo a beau nous servir la soupe à la grimace et nous renvoyer piteusement sous nos pulls d’hiver, pas question de renoncer à l’idée que nous sommes au printemps !
À force de le répéter, ça finira bien par arriver.
Les preuves en images : la piscine est ouverte depuis près de trois semaines :
Les enfants, qui n’ont pas plus froid aux pieds qu’aux yeux, en ont profité pendant les vacances d’Avril (cf. scoop du jour ). GéO n’a pas voulu être en reste : dès la semaine suivante, malgré un petit 21°, il a profité d'un rayon impertinent pour tester puis il n’a eu de cesse de m’inciter à l’imiter à mon retour du cours de Gym… Mais alors là, à moins de 26°, il aurait fallu que je sois tombée sur la tête…
Je garde une réserve prudente pour la saison chaude !
Les températures progressent régulièrement, à la grande satisfaction du maître des lieux : le 29 avril, les mesures prises trois à quatre fois par jour affichaient un généreux 23,6°…Jamais égalé depuis… Heureusement pour elle, notre téméraire Simone s’est offert les frissons d’un aller et retour express afin de clore ses exploits forestiers. Les intempéries du week-end ont bouleversé les plans : aujourd’hui, le thermomètre plafonne à 18,9°… Autant dire que je laisse ma place aux grenouilles pour un moment encore!
La semaine dernière pourtant, Simone s’est bien échauffée en attaquant pour nous la jungle qui a gagné dans le coin derrière l’étendoir… Armée de la débroussailleuse récupérée chez ses anciens voisins, la voilà menaçant les défenses de la Belle au Bois Dormant. L’entreprise est de taille, mais Simone excelle dans l'art du jardinage méthode Attila… Après la débroussailleuse, elle a attaqué les souches à la pioche. Malgré les mises en garde de GéO (ô souvenir du tuyau crevé par l’outil ravageur !), Simone s’acharne, le roncier sera vaincu! Restent sur cet espace dégagé quelques arbustes fleuris qui soupirent d’aise. Merci à l’entreprenante amie de nous avoir apporté son aide et son dynamisme sans faille…
19:19 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : écriture, journal, printemps, météo, piscine | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
24/04/2010
La casquette du Capitaine…
…fait-elle le marin ?
La question mérite d’être posée en considérant le choc des photos qui alimentent le petit reportage ci-dessous. Vous allez constater sans peine que nos compères ont le pied marin et l’humeur loup de mer…
La connaissance du métier et la sagesse du Seul Maître à bord descendent sur eux par la coiffe :
Admirez la dextérité des pilotes
Même si Bastien préfère jouer le rôle de la vedette incognito…
Il est clair qu’il s’applique à tenir le bon cap…
La tournée en bateau prend des airs de virée entre hommes, on se la joue marin aguerri!
16:07 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : récit, journal, photos, famille, bateau, mer | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer
22/04/2010
Scoop du jour
Images de plaisir familial: les petits-enfants de GéO se livrent aux joies de la piscine avec les chiens de la maison… Jeux de vacances me direz-vous, quoi de plus banal, pas matière à scoop?
Sauf que…
S’il semble y avoir de l’hésitation dans l’air… C’est que le défi n’est pas mince.
Pas fous, les adultes se gardent de fanfaronner. Seuls les enfants trépignent depuis le matin, que dis-je depuis la veille au soir, où tâtant jusqu’au coude l’onde cachée sous la bâche à bulles, ils ont pris la mesure des degrés gagnés grâce au système de chauffage inventé par leur grand-père. Deux degrés de plus depuis le matin, c’est la promesse arrachée à leur père, à force d’insistance …
N’empêche, ils ont gagné la médaille du courage, car à leur mimique expressive, vous pouvez déduire combien l’exploit mérite assurément que j’en fasse ici la relation, afin d’en assurer authenticité et pérennité. Avant ce jour, seul Jens, avait ouvert la voie, il y a déjà deux à trois ans. Loin de nous l’envie de lui ôter le moindre mérite, mais Jens bénéficie d’un avantage inné : il est Danois et son enfance a été baignée dans les eaux qui bordent sa contrée natale…
Chose promise, chose due, l’adage reste d’actualité, nos deux champions ont tant et si bien défendu leur cause que Philippe s’est résolu à sortir les maillots de bain. Les voilà à pied d'œuvre, et le premier contact suscite quand même un moment de réflexion :
Et du courage, il leur en a fallu une bonne dose, assaisonnée d’une mesure d’inconscience, malgré nos mises en garde. Car sous ce soleil radieux d'Avril, l’eau n’atteint que 16,5°! Il faut préciser que la piscine n'est ouverte que depuis vendredi dernier, j'y reviendrai. Sous l’œil admiratif d’Axel, notre téméraire Bastien se lance le premier dans l’aventure, bien décidé à montrer qu’il détient un mental de champion :
Heureusement, l’épreuve est de courte durée, et comme on dit, l’important ne réside pas dans le temps, c’est la détermination qui compte !!!
D’ailleurs, Bastien renouvelle l’exploit à moult reprises…
Quant au cadet, point n’est besoin de l’encourager davantage. Axel n’a pas vraiment le caractère méditatif, l’action l’intéresse nettement plus que la réflexion et l’évaluation des risques. Résolu, il prend son élan et … Je vous laisse apprécier la suite de l’opération grâce à cette rafale de clichés saisie par Philippe :
18:42 Publié dans goutte à goutte | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : écriture, journal, famille, piscine | | del.icio.us | Facebook | | Imprimer