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08/11/2009

Théâtre à Saint Max

 

Il n’y a pas que Ducros qui se décarcasse…
Les petites villes se démènent pour offrir à leurs concitoyens des moments de détente variés.
Côté culture, Saint Max joue des pieds et des mains. Notre petite commune de plus de 13 000 habitants dispose de cinq écoles primaires, deux collèges publics, un lycée public depuis 2 rentrées, et un lycée privé professionnel qui a offert une formation à de nombreux élèves du Canton.

La vie associative y est également remarquablement développée : une bonne centaine  d'associations répartissent leurs efforts sur les multiples secteurs de la vie communautaire : des anciens combattants aux clubs sportifs, culturels, entr’aide sociale,  parents d’élèves et  comité de jumelage. Chorale, bibliothèque et culture font bon ménage, et le forum de septembre offre de nombreux loisirs à qui veut bien s'en donner la peine.

Mais la municipalité n’est pas en reste pour offrir du divertissement.
Hier soir notamment, elle avait programmée une représentation théâtrale. Plutôt que de s’offrir une énième soirée télé,  nous avons décidé de descendre en ville frotter nos postérieurs à la rudesse des chaises métalliques de la salle des fêtes…. 

La pièce annoncée  , Moi, mon mari, mes emmerdes, a du être remplacée au dernier moment par un programme impromptu, servi par deux comédiens, Philippe Urbain et Emmanuel Carlier, seuls en scène dans un décor de paillotes et de détritus de chantier. Des éclairages rutilants, une bande son assez tonitruante, le confort minimaliste offert aux rangées de spectateurs, nous voilà bien loin des ambiances de spectacle  conventionnelles dans les grandes cités. Ce serait presque ambiance kermesse, mais le public est au rendez-vous. Malgré le changement de dernière minute, la salle est pleine et c’est tant mieux, car les deux comédiens qui se démènent sur la scène méritent amplement l’écho des rires qui fusent d’entrée de jeux.

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La pièce jouée, vacancesdemerde.com, a été écrite par nos deux acolytes, et les compères trouvent même l’astuce d’impliquer les Maximinois par leurs répliques taquines au cours de leurs prestes échanges. Évidemment, le public, bon enfant, réagit dans le sens espéré, et le dialogue entre la salle  et la scène devient chaleureux. Du coup, les  joueurs ne se retiennent plus et leur comédie connaît un succès mérité. À force de jeux de mots rebondissants et  de situations absurdes, le comique de situation se révèle efficace…nous sommes tous gorges déployées à oublier les menues misères et les soucis de nos existences ordinaires, une heure et demi durant. Pas de casse-tête intello déprimant en ce samedi soir de novembre, pluvieux et frisquet, et à la sortie du spectacle, l’assistance familiale témoigne de cette ambiance conviviale et chaleureuse.

De plus amples renseignements sur le spectacle présenté
http://www.l-affiche.com/page_artiste_spectacle.asp?rec=355

03/11/2009

Déception et solution…

Ah, la vie des internautes n’est décidément pas un fleuve tranquille…
Alors que j’avais atteint ce pallier de fonctionnement dans gouttesd’O où tout semblait couler de source et se mettre en place comme on respire, ,  voilà que je m’aperçois d’une étrange difficulté : du jour au lendemain, plus moyen d’intégrer de nouvelles fiches de lecture dans la liste Sources. Mais si, vous voyez bien, à gauche, les jolies petites vignettes  présentant les livres qui quittent ma table de chevet et entreprennent un séjour autonome, passant par chez Audrey, ou chez Simone, voire jusque chez Marie-Geneviève au gré des circonstances et des visites…


Aux non initiés des pratiques blogueuses, sachez que Haut et Fort, la plate-forme qui héberge gouttesd’o a résolu de ne plus donner dans l’altruisme : nous sommes passés à l’ère du tout payant, c’est de bonne guerre. Moyennant finance, nous sommes censés bénéficier d’un outil performant, no limit…No worry ! 
Néanmoins, alors que je m’attelle à rattraper le retard considérable que j’ai pris à formuler mes fiches de lecture, je fais face à une déconvenue sévère : pas moyen d’intégrer la fiche de lecture du tome 2 de Millénium à la liste source.… Les deux vignettes  similaires, faces noires encadrées de vermillon pour donner du relief au médaillon central, voilà qui aurait paré la colonne des livres  d’un joyau rutilant ! 
Après moult efforts et essais malencontreux, je me résous à demander l’aide des techniciens de la plate-forme. Las ! mon « ticket », lancé comme un SOS désespéré le 19 octobre, ne trouve sa résolution que le 2 novembre, après, il est vrai, une brève demande d’éclaircissement en date du 21/10. Je pensais être abandonnée à mon sort, jugée peu représentative dans le foisonnement de la blogosphère… Sans que je puisse trouver la notification de cet état de fait, le nombre d’items dans les listes de livres est donc limité à 33…
Entre-temps, je me suis donc résignée à publier la fameuse fiche dans les notes usuelles du blog, déçue d’interrompre ma belle liste de bouquins, frustrée par l’incohérence d’un tel rangement : cela me semble aussi incongru que d’imposer au chocolat le voisinage de carottes dans son réfrigérateur, ou de mélanger intimement les chaussettes et les soutien-gorge dans le tiroir à lingerie !  
Aujourd’hui, prenant le taureau par les cornes, j’ai entrepris de chercher un nouvel hébergeur pour mes fiches de lecture, à laquelle je tiens à donner, principe de « vieille instit », sans doute, une cohérence… Bon, l’affaire n’a pas été si simple, mais voilà, par curiosité, si le cœur vous en dit, essayez donc ceci : http://odelectures.canalblog.com/.

Je ne suis pas encore convaincue, « faut voir… ». L’idée serait de dissocier totalement les centres d’intérêt …
Mais demain est déjà un autre jour et les préparatifs du dîner m’appellent…

29/10/2009

Retour aux sources

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Je vous ai parfois invités à cette promenade au long d’un site charmant, ancien moulin abandonné, ruines ouvertes sur ce plateau micacé, étincelant au soleil.
(notes goutte à goutte ô combien du 7 -10-2008 http://gouttesdo.hautetfort.com/trackback/1833806

et l’Aille en eau du 9-02-09  http://gouttesdo.hautetfort.com/trackback/2041356 ).


Je vous proposais alors de comparer les états du lieu, en des circonstances fort différentes.
Lundi dernier, l’envie nous est revenue de prendre le pouls de la vallée. La route qui nous y mène est fort étroite et sinueuse, mais elle offre des points de vue remarquables. Il n’est toutefois pas recommandé de s’arrêter aussi souvent que  l’on voudrait, tant la visibilité est réduite entre deux virages et certains résidants locaux conduisent sur cette route en propriétaires…

Après les pluies diluviennes de la semaine dernière, la végétation s’ébroue et prend ses aises sur les talus. À notre surprise, les bruyères se sont épanouies et tapissent à leur tour les pentes de leurs hampes serrées en un élégant camaïeu.

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Le pont qui enjambe notre site favori se décèle à peine dans cette verdure foisonnante, alors qu’il offrait l’an passé sa carcasse décharnée à tous les regards.

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Sans atteindre le niveau des crues de février dernier, l’eau se déverse ici à pleins bouillons. Vous pouvez juger du débit intense, mais le malaise naît de cette  vilaine mousse incongrue qui tapisse le bassin. Qu’a bien pu ramasser en amont l’onde innocente qui s’exprime et se libère par ces bulles douteuses ?

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Qui oserait imaginer la vie aquatique sous la pellicule savonneuse ?

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L’eau dévale  ici avec force, déjà…

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Tandis que je me lance à la recherche des rainettes,  je sais qu’elles prospèrent dans les trous et qu’il faut s’armer de patience pour déceler leurs présences, trahies parfois par un saut  si rapide que l’œil n’est pas certain de le capter. Le bonheur de saisir leurs reflets  en photo est encore plus rare…

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Si d’aventure vous cherchez un havre isolé pour abriter vos méditations, accueillir une douce rêverie, songez en ces lieux à refaire le monde et nettoyer la planète…
Voici le palais des courants d’air, voûte céleste et eau courante non garanties à l’année…

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17/10/2009

Derniers éclats de l'été


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Cette semaine, le retour de la froidure matinale a eu raison  de nos résolutions.
Même le Poulous intègre sa fonction automnale, moins d’une semaine après avoir été le théâtre d’une dernière manifestation estivale :

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Dans  l’instant, il reprend vaillamment son aspect d’abri  pour un bric à brac figé, mobilier de jardin devenu inutile,
alors que le gîte résonne encore des rires  du dernier week-end, et du branle-bas issu de nos hésitations sur l’opportunité d’installer les tables dans le sous-bois à l’abri du soleil, ou plutôt dans le pool house à l’abri du vent. Nous avons  finalement opté pour la terrasse derrière la piscine, et parié sur d’éventuelles baignades dans une eau que GéO était parvenu à maintenir à 24°.

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En une procession festive, nos invités montent à l’assaut de la scène des réjouissances, où Hans attend en embuscade le début des agapes qu’il a minutieusement préparées avec nous.

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En cette occasion,GéO, Grand Jouisseur devant l'Éternel, tend la main à Hannelore pour franchir allègrement les rives de la Septantaine. Notre quatuor amical a  décidé d'unir nos forces pour d'introniser la  récipiendaire en nos murs, sur les pavés de Saint Max.

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Après tant d’efforts gustatifs et d'échanges confiés à oreilles portantes,
Vient le temps des libations et du repos, une pause étirée sous la caresse du soleil et la douceur des nectars…

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Tandis qu'Hannelore et moi  prenons quelques instants pour savourer nos succès culinaires, GéO ne néglige aucun effort pour abreuver tant de gosiers en attente…

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Grâce aux encouragements de la foule, la résistance du bouchon commence à céder…
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Ouf c’est gagné! Enfin presque…
Car pour la trilogie pain, vin, boursin, l'équilibre reste incertain…

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En attendant la remise des prix, les bons élèves se dissipent.

 

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Moments solennels s’il en est :

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Hannelore et Gérard au fait de leur gloire septantisée !


Et comme toujours, il y en a un qui n’a rien perdu  de la fête… Même si, en matière de liquide, GéO et son Copain n'ont définitivement pas les mêmes goûts…

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04/10/2009

Voiles de Saint Tropez

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Mardi dernier, Septembre s'achevait sous la lumière translucide d'un soleil avalé par le rayonnement de la mer.
GéO avait justement décidé d'une sortie "bateau", histoire de ne pas gâcher les beaux jours dont nous avons la chance de profiter.
À peine sortis du port, nous sommes surpris par une flopée de voiles blanches qui cernent l'accès à Saint Tropez, sur le versant opposé de la baie. De loin, les triangles de nylon ainsi tendus semblent emmêlés, tandis que quelques embarcations plus imposantes croisent en tous sens. Les mouvements des bateaux sur le décor étincelant ressemblent à une chorégraphie silencieuse, malgré quelques ronronnements de moteurs, dont les nôtres. Car nous ne sommes pas les seuls  curieux à se glisser au plus près des vedettes du jours.
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Nous choisissons enfin de quitter la baie pour rejoindre notre point favori, histoire de déjeuner à l'aise après une baignade même rafraichie, quand le bang d'un canon retentit et nous constatons l'envol des voiles blanches… Comme un lâcher de colombes, les voiliers gagnent rapidement toute la largeur de la baie.
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Tandis que nous abandonnons  les voileux aux délices de la régate, nous sommes doublés par un aristocrate.
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Sous la surveillance de la sirène veillant au bon déroulement des opérations, les spis se gonflent au large.
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Une idée d'aventure et le frisson des manoeuvres obscures qui s'effectuent en une suite d'ordres mystérieux, la grâce de la glisse au gite, par les vertus inconnues de l'énergie céleste…  Un monde lumineux et silencieux, le rêve passe…

27/09/2009

Poule mouillée…

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À 23°5, Copain est toujours aussi téméraire et plonge allègrement à la poursuite du Joujou.

Vous remarquerez la prudence de Zuko!

Quant à nous, les heureux humains qui lançons patiemment  le joujou , nos réactions sont mitigées. Mais comme l'été semble revenu, il ne faut rien lâcher et nous finissons par y aller, serrant les dents et  les poings pour lutter contre la chair de poule.

Dans cette occasion, je  me dis qu'il s'en faudrait d'un rien pour devenir l'illustration parfaite de la poule mouillée!

Alors je me lance sous les moqueries de GéO et du Destrouk'tor qui me narguent.

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25/09/2009

Romance normande

Orages dehors, soleil dans la maison


Tandis qu’ils s’éloignent de notre maisonnée, et roulent vers la Normandie et ses perturbations météorologiques habituelles, nos hôtes du week-end ont laissé du soleil en pagaille dans nos cœurs.

Pourtant, comment imaginer un tel déluge  pour décor?
D’accord, les mauvais esprits auront tôt fait de soutenir qu’ils sont habitués, eux,   aux averses et aux bourrasques… Mais justement,  les vacanciers normands cherchent … le dépaysement, la chaleur, la luminosité riante du Midi, les marchés colorés de notre contrée. Inutile de faire 1200km au bas mot, pour affronter colère divine et orages diluviens.
Là, disons le tout net, c’était raté.

En arrivant, Michèle annonçait pourtant  la couleur : « on aimerait bien faire un petit tour au bateau… »
Parlons –en! Dans le même temps, le Préconil sortait de son lit pour répandre les flots boueux dont il s’était chargé tout au long de cette longue semaine d’intempéries. Il faut bien comprendre qu’ici, après cet été chaud et sec, les eaux ruissellent sans pénétrer la terre compacte des collines. En bout de course, les petits fleuves côtiers se délestent d’un fardeau encombrant, branches d’arbres, roseaux, bambous,   et déchets multiples que les habitants laissent à l’abandon dans la nature… Je suis certaine qu’en naviguant dans la baie ces jours-ci, il devient difficile d’éviter  bois flottés et poubelles de plastique, qui ponctuent la grande bleue de leurs épaves dérivantes.

 Dans la maison,nous étions bien au chaud et au sec, à attendre que recommence la romance. Même le petit peuple à quatre pattes occupait la cuisine, Zuko s'ébrouant comme à l'accoutumée dès qu'une goutte atteint la pointe noire de son museau, Copain ravi de s'ébattre sous et dans l'eau, au désespoir  de la maîtresse qui n'en finit plus d'essuyer les traces de ses passages… 

Vous souvenez-vous de cette rencontre charmante, entre GéO et la dulcinée de ses seize ans ?*
J’avais confiance dans la bonne étoile, et le feeling intuitif et spontané de cette soirée de juin.
Nos nouveaux amis se sont manifestés et nous venons de vivre un week-end enchanteur.

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Sans vous raconter par le menu ces trois jours illuminés, je me bornerai à souligner la qualité des rencontres purement gratuites. Personne n’attend rien de personne, sinon le charme de se découvrir. Michèle et GéO savent tous deux qu’ils ne sont plus les adolescents timides qui s’étaient épanchés l’un envers l’autre en rêvant leur amour. À l’autre bout du parcours, ce n’est pas la renaissance d’un sentiment nostalgique qui crée l’intérêt  de la découverte. C’est plutôt la perception du caractère exceptionnel de ces retrouvailles, au-delà du temps et des péripéties des existences. Cinquante-deux ans de vie, c’est long et lourd, ça nettoie les timidités et déshabille les illusions. Mais ça prépare aux bilans, aux comparaisons, à la pesée des caractères et à l’épuration des idées prêtes-à-penser. Finalement, cette parenthèse de retour dans le temps n’en est pas un. Comme une surprise de vie, ce n’est pas le passé qui construit une image statique et convenue. C’est la spontanéité des humains qui bâtit une relation complice. Nous nous sommes sentis en famille, réunis autour de la table de la cuisine pour un verre d’amitié pendant que le repas se préparait dans les rires et les plaisanteries. GéO et Dominique se sont complu à échanger leurs secrets de bricoleurs,   Michèle et moi avons ratissé les allées de la complicité féminine. Tous les quatre, nous  avons dévoré la teneur et la saveur  de la connivence instaurée. On s’en est longuement félicité !

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Proverbe du mois:
Pluie de Provence…Goulée de l'amitié
* voir amours d'antan , publié le 31/08/09

02/09/2009

Copain chien amphibie

Dans la catégorie Bête de Gévaudan, portrait du jour :

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Honte à moi sur toute la ligne, durant l’été, j’ai omis de vous tenir au courant des frasques du  Destrouk’tor noiraud. Toujours débordant d’affection envers quiconque passe à portée de ses démonstrations  intempestives, il adore fourrer sa truffe frémissante dans les conduits de nos oreilles. Et puisque nos organes de l’ouïe l’inspirent, il lance ensuite de petits souffles derrière le lobe de nos oreilles, remonte enfin vers les commissures de nos lèvres en une bonne série de léchouilles tendres… Ainsi débarbouillés, il ne nous reste plus qu’à l’accompagner au bain pour le rituel  joujou-piscine, autre variante du joujou-jardin qui finit par lasser …

Depuis l’an dernier, les joujoux ont changé de corps. Finies les baballes en mousse ou en latex. Un grand nombre de balles de tennis ont rendu l’âme en quelques secondes, GéO a résolu de passer au produit de grande résistance, et dont le renouvellement ne nous coûte rien : bouteille de Salvetat et de Vichy font parfaitement l’affaire. Avant de rejoindre la poubelle de tri, elles ont droit désormais à un détour par la case joujou, le recyclage, c’est économique et écolo…

Cet après-midi, donc, séance piscine selon le rituel établi :

Après quelques plongeons au milieu du bassin pour récupérer l’objet lancé, voici une petite séquence photo concernant les intenses activités du chien et de son maître.
Vous constaterez sans peine que Copain est parfaitement amphibie et pratique sans fatigue l’art de l’apnée:

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Promis, juré, il ne se fera plus avoir !

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