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31/08/2012

Mathis la malice

D'accord, d'accord, les gouttesdo se font rares en ce moment… Vous avez sans doute deviné que je les abreuve à ma source favorite!

Ce temps de partage avec les nôtres est sans pareil et ne souffre d'aucune distraction! 

Je ne manquerai pas de revenir sur tous ces épisodes,  en attendant, je tente d'apaiser votre soif de quelques clichés furtifs.

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Cette dernière semaine d'août, toute notre attention est évidemment concentrée sur la personne de Mathis…

Lequel ne s'embarrasse d'aucun scrupule pour tournebouler la tête de sa Doudie autant que de Papyrache. (Contraction  étonnante de Papy Gérard,  que l'intéressé  apprécie comme vous le devinez… Les enfants n'ont-ils pas le génie de l'à-propos?)

 

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Il y a deux jours, nous partagions tous trois une agréable partie de ballon sur la plage de la piscine. Tout se déroule à merveille, quand le ballon a la mauvaise idée de fuir devant les pieds de notre Mathis et de rouler jusque sur les restes d'une pelouse qui fut jadis une plate-bande herbue. Mathis s'arrête net à la frontière de ce nouvel espace.

— Eh bien Mathis, va le chercher, ce ballon!

— Non, pas Mathis, non, veux pas

— Écoute Mathis, tu es tout près, tu peux marcher sur "l'herbe"

—  Non, peux pas, j'ai des petits pieds…

Comme quoi, Mathis aux petits pieds est dispensé de fouler les herbes sèches…



16/07/2012

Les feux de l'été

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On y est ! Le  week-end du 14 Juillet marque le début de l’Été, le vrai…

 

Quelques soient les préoccupations des uns ou des autres, la mi Juillet ouvre une période particulière: mêmes les besogneux qui repoussent à d’autres temps leurs vacances  ont à l’esprit le changement qui s’est organisé le temps d’un samedi migratoire : les rues des villes se sont vidées d’une partie des véhicules, les rames des transports en commun offrent des sièges vides, et du coup l’humeur des travailleurs s’allège…

 

Mais a contrario, ce sont nos côtes qui se sont retrouvées  tout à coup envahies d’une foule pressée de profiter du soleil et de la chaleur.

 

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 Cassis

 

Alors les municipalités s’organisent pour amuser les vacanciers. Ici, les jouteurs de cassis s’exercent encore une fois dans la lumière de cette fin d’après-midi.

 

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Et les feux d’artifice du 14 Juillet fêtent autant la Nation que l’éclosion soudaine de la manne estivale.

 

feux d'artifice, vacances, Provence, 14 Juillet la ville dans l’obscurité attend l’explosion des lumières et des pétarades qui vont résonner dans le port. Les hauts parleurs diffusent la musique pour  attirer les touristes hors des restaurants et terrasses fraîchement investies.

 Nous avons la chance d'être conviés au spectacle par Catherine et Kim qui nous offrent l'hospitalité d'une soirée exceptionnelle.

  Après le  dîner agréable  qui permet de profiter longuement de la vue magnifique sur la cité et la muraille gigantesque du Cap Canaille, nous nous installons sur le balcon qui domine le port. Le spectacle commence, la magie opère…

 

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      L’ambiance ne serait pas parfaite sans les retrouvailles musicales.

      Hier, c’était pique-nique Jazz au château de Bernes, superbe domaine vinicole des environs de Lorgues. Dégustation des rosés gouleyants et des rouges fruités assortis d’un buffet tout à fait honorable. L’orchestre des Ticco’s jazz  abreuve aussi  nos oreilles des rythmes New Orleans, un duo de batteurs fait le bœuf, quelques  convives craquent et se mêlent aux musiciens pour une participation vocale ou au bandjo,  sous l’immense chapiteau la fête est décontractée, chaleureuse, et le vent n’y change rien.

 

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L’été 2012 est bien là, oyez oyez, nobles voyageurs saisonniers, la belle Provence a revêtu ses atours  estivaux pour mieux vous séduire…

 

29/08/2008

Les Girelles d'Aurel

Un prodigieux souvenir du séjour d’Aurélien, et un cri de reconnaissance des belles royales, car leur intrusion dans notre monde civilisé est restée de courte durée…

Le séjour d’Aurel touchant à sa fin, GéO organise une sortie pêche, plaisir avorté la semaine précédente par un curieux mélange des genres…
Nous voici donc d’assez bonne heure à bord, météo prometteuse, vent mignard et soleil triomphant, que demander de plus ?

Ou plutôt, que demander de moins ?
Moins de houle, justement.
Car si le vent est quasi nul, en cet augustinien mardi, la Houle se sent vraiment de la partie : que nous longions les Cannebiers, ou les petites anses à haut fond qui conviennent bien habituellement à la dérive, impossible d’échapper au balancement permanent du bateau sous nos pieds. De sorte que les gestes des pêcheurs s’empêtrent dans les palangrottes, les hameçons valsent autour du fil de ligne, les hommes debout multiplient les petits pas pour rattraper la verticale qui fuit sous leurs pieds…Quelques tentatives pour conserver le bateau dans l’axe tournant du courant, rien n’y fait…

Pourtant, ça commence bien : dès le premier essai, Aurel sort de l’eau la première Girelle, robe de fête chatoyante, corail à reflets bleus et ors, la Royale est promptement installée dans le seau et nous quittons le site décidément trop dansant.

La deuxième se fait la belle, vivement, avant qu’Aurel ne lui enlève l’hameçon du bout des lèvres, elle s’est dégagée d’un ressaut vigoureux et a disparu dans les fonds trop bleus.

Quelques encablures plus loin, nous atteignons enfin l’abri de l’îlot à la sirène, pour l’occasion brise lame, garant d’une relative stabilité.
Espérant taquiner à son tour le fretin passager que signale le sonar, GéO décide de mouiller et nous tombons l’ancre sur les algues dix mètres en contrebas. C’est là que la troisième se laisse piteusement piéger par les attraits ondulant de l’appât empalé sur un crochet fatal. Quelques-unes de ses collègues étaient parvenu à brouter les redoutables dures arraisonnés aux trois pointes de la palangrotte, celle-ci, l’infortunée tête folle, s’est montrée trop gourmande et d’un magistral coup de glotte, elle a réussi à enfouir l’insolent asticot jusqu’aux tréfonds de sa gorge. Mal lui en a pris, notre valeureux pêcheur s’est armé de l’adéquat égorgeoir, et de tressautements du poisson dans sa main aux rétablissements malaisés de son équilibre, après quelques minutes de lutte,
cette fois, l’homme a vaincu !

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Score final : 2 à 1, mais les prisonnières ont recouvré la liberté du large et se serviront de leur mésaventure pour avertir leur progéniture, soyons- en sûrs…

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11/08/2008

Raie Pastenague

Ce jour de Juillet, la palanquée embarquée sur le Leyla est importante : nous sommes 9, en tout, embarqués sur le bateau de GéO, pique-nique, et matériel usuel : les flacons de protection solaire, les casquettes, les PMT* des invités, et même les croissants prévus par Gabrielle pour affronter les deux petites heures de navigation nécessaires pour atteindre notre havre.

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Le temps magnifique se prête à merveille à l’excursion. Sorti de la baie de Saint-Tropez, où il vaut mieux ne pas songer à flâner en cette période d’animation estivale, GéO a mis le cap sur Taillat, notre repaire habituel. Longeant d’abord longuement le Cap Saint-Tropez et ses mirifiques villas, puis l’interminable plage de Pampelonne aux eaux pratiquement désertes le matin, nous passons le phare de Camarat, haut perché sur son promontoire, admirant au passage quelques demeures dissimulées dans l’épaisseur de la végétation, avant d’atteindre enfin l’anse de Taillat. Abordée par l’Est la presqu’île s’avance franchement dans la mer, rattachée à la côte par un minuscule petit isthme de sable qui en constitue la plage. Les touristes courageux y accèdent à pied, les chanceux dont nous sommes accostent par mer et choisissent, selon le sens de la houle, de mouiller à l’abrupt de la falaise Est ou en contrebas du flanc Ouest, plus vert, résidence des cigales qui stridulent tant que dure le jour.

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Notre premier mouillage aurait pu être idyllique, mer turquoise et menthe à l’eau, en fonction des fonds où alternent sable, algues et rochers. Le Leyla s’approche aisément à moins de 100 m de la côte, nous avons encore 6 à 8 mètres de fond, ce qui est amplement suffisant pour la sécurité. L’eau est magnifiquement transparente, on peut suivre le cheminement serpentin des Saupes qui glissent sous nos pieds. Ce sont des poissons argentés, dont la forme s’apparente aux Sars ou aux dorades plus connues des gourmands, et qui s’en distinguent par une belle barre noire à la naissance de la queue. En revanche, je n’ai encore rencontré personne qui en vante les qualités gustatives. Ce sont des bêtes malignes qu’on n’attrape pas facilement à la ligne, comme si elles devinaient le piège tendu, alors qu’elles ne se font pas prier ordinairement pour partager les reliefs du pique-nique qui les attirent.

Mais voilà, passé le premier bain, alors que nous dressons la table pour le déjeuner, nous percevons « le malaise des sillages », maladie spécifique de la saison. La houle produite par les autres bateaux, les gros navires et les yachts de luxe qui passent au large ou les bateaux de plaisance, plus modestes qui passent trop rapidement près des côtes (nombreux sont les pilotes amateurs qui ignorent les règles de navigation limitant la vitesse des engins à moins de 300 mètres de la côte!). Ce jour-là, le vent sud-est garde les embarcations parallèles à la côte et nous prenons les vagues de sillage par le travers. De tous les aléas de la houle, celui-ci est le moins agréable, qui soulève le bateau d’abord sur un côté et le fait rouler au faîte de son ondulation pour le déposer sur l’autre flanc. La plupart de temps, ce sont d’ailleurs plusieurs vagues qui se succèdent, et ce petit manège devient vite fatigant, car les passagers sont obligés non seulement de veiller à leur propre équilibre, mais encore à l’heure du repas, l’exercice se complique puisqu’il s’agit d’éviter de laisser tomber verres, couverts, assiettes et … leurs contenus. Allez savoir pourquoi, la houle avant-arrière se contrôle mieux, la houle arrière –avant est championne pour déclencher le fameux mal de mer. Dans ce dernier cas, il n’y a plus que GéO pour conserver sourire et appétit. Ce petit cours des aléas pique-nique établi, GéO décide de nous mettre à l’abri des turpitudes sillages, d’autant que Lucas a rencontré une charmante méduse rose, une seule, mais les cloques sur son abdomen et la zébrure de sa main atténuent les envies des baigneurs. Qu’importe, j’ai la recette miracle, quelques massages des brûlures par le vinaigre, Lucas retrouve le sourire. Une demi-heure plus tard, les marques et la douleur s’estompent**.

Nous traversons donc l’anse et GéO choisit un mouillage à portée du Cap Lardier, où le bateau sera moins sensible aux fameux sillages. La table est rapidement réorganisée et nous déjeunons sans souci, sous le regard intéressé d’un grosse mouette, prête à happer sélectivement les miettes que tous s’amusent à lui lancer. Bastien se montre le plus habile, et nous établissons le menu de l’invité-surprise. Elle apprécie peu la tomate, se régale de pain, de pâté de thon, de charcuterie… Au fond, elle partage le régime GéO, plus protéines animales que fibres et sels minéraux, ce qui atteste de l’instinct de survie de notre capitaine, il peut s’adapter à la vie sauvage, je vous le dis !!!


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Vient enfin le moment de chausser les palmes !
Chacun s’équipe, les prévoyants ont emporté leur matériel, nous collectionnons dans un coffre 2 ou 3 paires de palmes, quelques masques et tubas qui ont grandement besoin de prendre l’eau de temps à autre.
Luc se mue en chef de palanquée, suivent Gabrielle et Bastien, Lucas ne tarde pas à se remettre à l’eau, prudent au début, Adrien emboîte le sillage. Pendant que nous nous équipons à notre tour, Luc signale un passage intéressant. Le message se transmet, déformé par les tubas, ce qui donne :
- Hommm, un-un ai, .ite, à ouu
La traduction active nos mises à l’eau comme il se doit !
Nous palmons avec énergie pour rejoindre le groupe formé un peu plus loin, à l’aplomb d’un espace sablonneux. Il faut quand même quelques explications et repères pour que nous distinguions enfin une forme blanche identique au décor blanc, forme dont les flancs battent comme des ailes, par un mouvement ondulant, levant une poussière de sable quand elle frôle le fond, ce qui attire le regard. Nous nous regroupons un moment pour suivre la danse, mais elle finit par se perdre et disparaît. Je suis assez contente, car c’est la première fois que je vois une raie. Luc et Gabrielle, très habitués des plongées dans les mers exotiques, ont reconnu l’espèce et la nomment. Pour eux il s’agit dune raie pastenague, et j’essaie de coincer l’information dans un petit coin de ma tête… J’essaie, comme toujours…


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***

Audrey est aussi satisfaite que moi de la nouveauté, nous nous réjouissons en outre de renouer avec ses petites expéditions qui ont émaillé les vacances familiales de son enfance, surtout à l’époque de Cadaquès.

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Puis la palanquée se dirige vers la côte, protégée par son abord rocheux, labyrinthe idéal pour observer les girelles, les sarans, les oursins qu’on évitera de toucher. Au retour, nouvelle entrevue avec une raie, bien repérée par Sébastien cette fois. Le spectacle s’anime car la demoiselle ondulante semble jouer avec des soles. Trois d’entre elles se positionnent en triangle comme une escorte, tandis que la raie survole une quatrième sole, la dépassant, puis lui cédant la priorité, avant de la recouvrir à nouveau de son corps, ondulant toujours avec cette grâce de Sylphide en représentation. Nous sommes sidérés par cette impression de jeu concerté. Sébastien plonge à plusieurs reprises vers le groupe, mais elles ne se laissent pas rattraper et poursuivent leur manège un poil plus loin, restant hors d’atteinte, sans fuir cependant.
Nous regagnons enfin le plat-bord et je m’empresse de raconter à GéO, resté à bord par sécurité, nos dernières découvertes. Forte de mon savoir tout neuf, j’éprouve une hésitation avant de citer le nom de notre compagne d’aventure :
- Alors, ce genre de raie, toute blanche, assez ronde, avec une queue nettement plus foncée, pas très longue, tu vois, grande comme ça…, la queue comme ça… ( précision à la mano, ça s’entend), je crois que Luc a dit que c’était une raie Pastagas
Éclat de rire généralisé !
- Ah là, tu vas te faire une réputation, on entend bien ton besoin, même si c’est un peu tôt ! Tu vis dans la région depuis trop longtemps, ça déforme ta comprenette ou ça projette tes envies…


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* PMT , jargon des habitués du sous l’eau : comprendre Palmes Masque Tuba, trio de base.
** Une véritable astuce quand on est loin des côtes et du pharmacien. Évidemment, il faut penser à mettre une petite bouteille de vinaigre dans le sac de plage, mais sur le bateau, c’est plus simple, j’en ai toujours dans l’équipet de la cuisine, et c’est vraiment efficace !
NB : ne jamais rincer une brûlure de méduse à l’eau douce, ça propage au contraire le principe urticant …
Pour les piqûres de vive, qui sont horriblement douloureuses également, on regrettera le temps des fumeurs : approcher au plus près de la plaie une source de chaleur comme une cigarette, à défaut une flamme de briquet, chauffe le venin et le contre.

*** renseignements sur Wikipédia,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Raie

sur le danger de vouloir toucher cette faune qui n’a pas besoin de l’homme :
http://www.somednat.org/site/spip.php?article18

Pour les photos et l’exploration :
http://www.ocearium-croisic.fr/pages/3-oceans/le-tunnel/la-raie-pastenague.php

http://www.linternaute.com/mer-voile/diaporama/plongee-egypte/1.shtml


03/08/2008

Thalasso à Saint Max…

Eh oui, rien n’arrêtera jamais le talent de notre GéO, qui vient de mettre au point une ultime utilisation de son système de chauffage pour piscine. Comme je manifeste mon peu d’enthousiasme pour la mise en chauffe du bassin aujourd’hui, arguant que les 30,6° affichés dans l’eau contre les 36° de l’air, sont déjà superflus, GéO m’invite à mettre mon cou torturé par l’arthrose sous le jet…
Quel bien-être !!!
Du coup, je récupère assez d’énergie pour ouvrir un petit pan de la chronique Saint Max…

Où l’on va retrouver les mésaventures de la bête de Gévaudan, alias Copain, perplexe devant la perspective d’un plongeon dans le grand bassin…
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Audrey l’y encourage, mais notre rat de piscine ne semble pas d’humeur : il adopte une position de repli et de son nouveau poste d’observation, il guette les avancées ennemies.

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Peu importe d’ailleurs, à l’eau, il finira par s’y retrouver, ce jour-là comme tous les autres, depuis la visite de Bastien, Lucas et Adrien, qui lui ont appris à couvrir des longueurs au grand émoi d’Olivier qui redoutait sa fatigue. Copain s’en est bien sorti, et a pris goût à la course, sauf…qu’en ma compagnie, il nage en biais, sans respecter les parallèles… De sorte que je dois le maintenir d’une main dans son couloir, faute de quoi il obstrue mon passage pour être certain de l’emporter ! Encore un mauvais joueur dans la famille, on dirait.
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Les hésitations de Copain sont restées fugaces, il a pris bien vite le rythme et l’entraînement en compagnie d’Audrey et de Sébastien. Le voici à la recherche de son coach
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ce qui lui permet de développer son instinct de berger rassembleur : localiser le mouton perdu et le ramener bien vite à la rive :
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Quel professionnel du sauvetage !
La récompense suit aussitôt ,DSCF2161.JPG
pendant qu'Audrey passe à un autre style d'exercice délicat: le brossage en règle de Grosmimi
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Et pour finir ce court exposé des délectables jeux de Juillet, je vous adresse cette devinette :
Que signifient ces scènes volées au bord du bassin ?
Qui peut les remettre dans l’ordre et les légender correctement ?
Au meilleur d’entre vous, nous dédierons un grand plouf dans la grande bleue et un glaçon supplémentaire dans le pastis…

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