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25/04/2010

Le droit des blogueurs

Au fil de mes balades dans la blogosphère  je suis passée par chez Cynthia, qui officie  sur  son site personnel Cynthia et ses contes défaits entre autres, car à fréquenter ses belles pages et creuser plus avant les liens qu'elle y a adressés, il apparaît  que Cynthia est très prolifique et sème sa bonne et belle parole sur de nombreux sites.

Mais Cynthia vient d'être victime d'une curieuse réaction dont la morale est plus qu'intéressante.

Sous le titre l’homme est un animal doué de raison (ou presque),elle  publie l'affaire dans ses notes du 3 et 5 avril ( voir lien ci-dessus). Un bref résumé vous permet de saisir le sujet avant d'y aller voir vous même: elle a lu et (donc) commenté le roman Papoua de Jean Claude Derey. Comme l'ouvrage ne l'a pas emballée, la critique honnête qu'elle en a dressée fait part de ses réticences. Cynthia étant une blogueuse très active, sans doute Monsieur Derey s'est-il ému du retentissement de cet avis.… Il s'est alors livré sur le blog des contes défaits à  plusieurs attaques dont la virulence n'a d'égale que la bêtise. Cynthia s'est défendue intelligemment en n'entrant pas dans l'exercice de sémantique injurieuse, mais le cas est intéressant. Pour tous les lecteurs et lectrices qui, comme je le fais aussi, avons plaisir à partager nos ressentis, nos émotions et notre plaisir au fil des notes de lecture, il paraît naturel d'être honnête et de nuancer, sans attaques personnelles évidemment, nos avis . C'est en regard de ce critère que l'on s'attache à visiter plus ou moins régulièrement les sites avec lesquels passent une affinité… C'est en tous cas, l'un des critères sous-jacents pratiqué par les sites où je collabore également.

 

Cynthia s’est remarquablement défendue, faisant montre de dignité et de distance face à la fureur puérile de son agresseur. Le débat est le suivant :   tout auteur qui publie accepte de facto d’être lu par un public qu’il ne connaît pas. Il ne peut prétendre plaire à tous, tant par le thème qu’il développe que par la forme dont il use. Il ne se peut pas que Monsieur Derey ait  apprécié voire admiré toutes les œuvres passées sous ses yeux et soumises à son libre jugement de lecteur. Nous mêmes, blogueurs et blogueuses qui osons transmettre nos avis, nous sommes souvent assez humbles devant l’œuvre achevée et publiée, sans pour autant flagorner les auteurs, ni même les éditeurs, même quand les sites concernés bénéficient d’ouvrage envoyés par ceux-ci, ce qui est le cas de Cynthia. Évidemment, un site aussi  peu fréquenté que l’est gouttesdo ne va émouvoir personne dans le gratin germanopratin! Quoiqu’il en soit, je relaie l’affaire pour ce qu’elle m’a interpellée et m’attribue le logo mis à disposition par…faelys sur Petites Madeleines http://petitesmadeleines.hautetfort.com/ archive/2010/04/06/petite-charte-deviendra-grande.html

 

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24/04/2010

La casquette du Capitaine…

fait-elle le marin ?

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La question mérite d’être posée  en considérant le choc des photos qui alimentent le petit reportage ci-dessous. Vous allez constater sans peine que nos compères ont le pied marin et l’humeur  loup de mer…

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La connaissance  du métier et la sagesse du  Seul Maître à bord descendent  sur eux par la coiffe :

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Admirez la dextérité des pilotes

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Même si Bastien préfère jouer le rôle de la vedette incognito…

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Il est clair qu’il s’applique à tenir le bon cap…

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La tournée en bateau  prend des airs de virée entre hommes, on se la joue  marin aguerri!

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22/04/2010

Scoop du jour

Images de plaisir  familial: les petits-enfants de GéO se livrent aux joies de  la piscine avec les chiens de la maison…  Jeux de vacances me direz-vous, quoi de plus banal, pas matière à scoop?

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Sauf que…
S’il semble y avoir de l’hésitation dans l’air… C’est que le défi n’est pas mince.
Pas fous, les adultes se gardent de fanfaronner.  Seuls les enfants trépignent depuis le matin, que dis-je depuis la veille au soir, où tâtant jusqu’au coude  l’onde cachée sous la bâche à bulles, ils ont pris la mesure des degrés gagnés grâce au système de chauffage inventé par leur grand-père. Deux degrés de plus depuis le matin, c’est la promesse arrachée à leur père, à force d’insistance …

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N’empêche, ils ont gagné la médaille du courage, car à leur mimique expressive, vous pouvez déduire combien l’exploit mérite assurément que j’en fasse ici la relation,   afin d’en assurer authenticité et  pérennité. Avant ce jour, seul Jens, avait ouvert la voie, il y a déjà deux à trois ans. Loin de nous l’envie de lui ôter le moindre mérite, mais Jens bénéficie d’un avantage inné : il est Danois et son enfance a été baignée dans les eaux qui bordent sa contrée natale…


Chose promise, chose due, l’adage reste d’actualité, nos deux champions ont tant et si bien défendu leur cause que Philippe s’est résolu à sortir les maillots de bain. Les voilà à pied d'œuvre, et le premier contact suscite quand même un moment de réflexion :

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Et du courage, il leur en a fallu une bonne dose, assaisonnée d’une mesure d’inconscience, malgré nos mises en garde. Car sous ce soleil radieux d'Avril, l’eau n’atteint que 16,5°!   Il faut préciser que la piscine n'est ouverte que depuis vendredi dernier, j'y reviendrai. Sous l’œil admiratif d’Axel, notre téméraire Bastien se lance le premier dans l’aventure, bien décidé à montrer qu’il détient un mental de champion :

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Heureusement, l’épreuve est de courte durée, et comme on dit, l’important ne réside pas dans le temps, c’est la détermination qui compte !!!
D’ailleurs, Bastien renouvelle l’exploit à moult reprises…
Quant au cadet, point n’est besoin de l’encourager davantage. Axel n’a pas vraiment le caractère méditatif, l’action l’intéresse nettement plus que la réflexion et l’évaluation des risques. Résolu, il prend son élan et … Je vous laisse apprécier la suite de l’opération grâce à cette rafale de clichés saisie par Philippe :

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Alors, heureux nos champions?

18/04/2010

Comment j'habite mon jeans…

Parmi les textes fondateurs de ma relation aux mots, il y a eu une dictée.
Non, non, ne riez pas. J’imagine d’ici votre petite moue ambiguë, genre « eh oui la pauvrette, rien d’étonnant, que pouvait-elle faire d’autre … ». J’assume !

Tandis que notre institutrice dictait le passage en question, et que mes camarades frémissaient d’ardeur sur les accords retors, j’écrivais, inconsciente des pièges orthographiques, impatiente de construire sur le lignage de mon cahier la scène dictée. Je m’émerveillais de la forme de cet extrait (Knock de Jules Romain si ma mémoire ne me trompe…)  Je peinais à  retenir mon hilarité et mon admiration à la découverte de l’enchaînement magique qui permettait au narrateur de distiller au fil de ces quelques phrases l’anecdote  succulente jusqu’à la chute finale. En un mot, il me semble que sans le savoir, j’étais tombée en amour avec la narration, et je m’en souviens encore aujourd’hui comme d’un moment fort…
Je ne saurais vous faire languir plus avant, et je serais fort aise  si une de mes souris  lecteur/lectrice,    malgré sa discrétion accoutumée,   venait à me corriger au cas vraisemblable où ma référence ne serait pas juste…

Cet extrait relatait le cas d’un enfant  présenté au médecin de famille par ses parents  fort inquiets, à la suite d’une faiblesse soudaine frappant les jambes du bambin. Depuis le matin, celui-ci se révélait incapable de faire un pas et  tenait debout à grand peine. Les parents redoutaient une terrible maladie invalidante. Le  bon docteur examinait alors consciencieusement  le petit patient avant de le rendre à ses parents, leur conseillant simplement à l’avenir de veiller à  vêtir leur chérubin en n’enfilant  qu’un membre par jambe de pyjama.

Si l’anecdote me revient ainsi en mémoire, c’est qu’il y a des semaines comme ça où il vaut mieux rire de ses propres errements… Il m’arrive parfois de me surprendre et surtout in petto de m’affoler en constatant comment mes propres neurones peuvent décréter une grève surprise, sans préavis, aux effets ravageurs ! Ce qui est certain, c’est que GéO contemple sa blonde avec l’indulgence attendrie dont on honore les premiers pas de son petit, ou les maladresses d’un jeune chiot.

Aloïs serait-il revenu à la charge? Le syndrome de sénilité effleure les extrémités de mes synapses et je redoute la montée en mayonnaise des connexions qui s’emmêlent les pinceaux sous mon dôme  crânien… Brrr…

Jugez plutôt : Jeudi dernier, je me suis rendu en ville en fin de matinée, afin de procéder à quelques courses urgentes, dont l’expédition d’un paquet pour Aurel. Il faisait déjà doux, je n’avais enfilé qu’une veste légère, démunie de poches, hélas ! Ma tournée commençait donc par la poste, et pour gagner du temps, j’avais entrepris de fouiller parmi les présentoirs de prospectus pour remplir le formulaire  colissimo. Gênée par la lanière du sac à main qui pesait sur l’épaule droite, et mon trousseau de clefs que je gardais en main faute de poches à cette fichue veste, je me suis délestée de mes charges sur la table… Mon tour arriva enfin, je me présentai à la préposée, effectuai la transmission de mon paquet, toute contente de m’en tirer sans trop de retard. Je repris mes pérégrinations boutiquières ; il était midi largement sonné quand je sortis de la pharmacie et me dirigeai vers la voiture… Chemin faisant, par habitude, je cherchais mes clefs dans les poches de ma veste… Point de poches, pas de clefs. Mes mains descendirent vers mes hanches pour vérifier si je ne les avais pas glissées dans mon jeans,   mais, dans le  même temps, ma tête me rappela que le week-end dernier ayant été festif, les deux kilos gagnés à faire la fête tiraient suffisamment sur le vêtement pour que je n’y glisse une charge supplémentaire. Logiquement,   je savais que je n’y avais pas mis mes clefs puisque je me souvenais  m’être tenu  fugacement le  raisonnement. D’où le fait, ça me revint alors très clairement, que je les avais déposées sur la table du bureau de poste ! 
Immédiatement, je rebroussai chemin, pour constater évidemment que le rideau de fer était baissé. Que faire? Remonter à pied, version sportive et sympathique, mais contrariante pour enchaîner le déjeuner avant le rendez-vous de l’après-midi. Je me résignai donc à appeler mon cher GéO à la rescousse…

Après déjeuner, le voilà bien obligé de me descendre à nouveau, munie derechef du double de mes clefs de voiture. Nous passâmes d’abord à la poste, où personne n’avait vu l’objet de mes préoccupations… Des quatre guichets, je n’obtins que des dénégations, compatissantes certes, mais guère réconfortantes. Pourtant, j’étais certaine maintenant que c’était là que je les avais abandonnées,   j’étais capable de me projeter très distinctement le film de  l’enchaînement de mes gestes…  Déçue et intriguée, je me rendis néanmoins chez la coiffeuse qui m’attendait. Le temps de procéder aux soins de mes cheveux, Stella écouta attentivement ma mésaventure,   et avec elle, tout le salon commenta les désagréments  d’un tel oubli, et surtout l’égarement de celui ou celle qui avait indubitablement pris les maudites clefs !
Libérée  par ma Figarelle préférée,   je recommençai mon petit circuit du matin à l’envers : la pharmacie…la poste… Chaque fois, mon histoire retenait l’attention. Même la femme de ménage du service public me promit de regarder à deux fois en passant sa serpillière. Je poussai jusqu’à la mairie et de là, la police municipale. Pas l’ombre d’un semblant de trousseau à l’horizon ! Je savais bien que ce n’était  pas si catastrophique, pas de repère d’adresse ou d’immatriculation sur les  clés, et j’avais le double en poche cette fois pour remonter la voiture. Mais je pestai, je marronnai, je me gourmandai comme vous pouvez l’imaginer.


La force de l’habitude l’emporte décidément sur la réalité des faits.
En vue de l’endroit où m’attendait la fidèle Saxo, ma main plongea toute seule dans la poche de mon pantalon pour en extraire ma clef de secours. Sauf que mes doigts reconnurent la forme du boîtier de commande à distance… Les bonnes clefs étaient bel et bien au fond de la poche du jeans depuis le début…

Comment ai-je pu tâter dix fois au moins mes hanches sans sentir l’intrus ? Comment ai-je pu m’asseoir et me relever plus de vingt fois sans être incommodée par les  pièces de métal  coincées contre mon aine ?  Je n’habite plus mon pantalon, et ce constat ouvre une sacrée boîte de Pandore… Vais-je continuer à me faire  confiance ?  Déjà, dimanche, j’avais oublié nos billets d’accès au Castellet…  Heureusement qu’Aurel était parti  en avant, ma bévue ne l’a pas privé du départ.  Aloïs, Aloïs, mon vieil ennemi est de retour… Mes Colombines savent combien je me contrarie d’héberger un tel squatter.  GéO me promet le fauteuil 110, vieille blague héritée du temps où nous rendions visite à Mamie, mais derrière les taquineries  veille une angoisse ancienne, que je ne suis certainement pas seule à redouter.  À quoi bon vieillir, si l’Avenir me promet des courses-poursuites en fauteuil roulant,  le long des coursives d’un hospice hanté d’amnésiques ?  Il faudra que je me surveille… 
En attendant, j’ai offert à mon GéO une source de mises en boîte maison, qui m’habillera bien pour la saison chaude…Et les suivantes!

10/04/2010

Soleil à Callelongue

Un peu de soleil et de nature ne sauraient nuire à votre week-end…
Avec l’arrivée d’ Aurel hier, nous sommes partis à la recherche d’une denrée devenue fort rare…

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C’est dans l’ultime niche au bout du bout de Marseille que nous avons déniché une bonne brassée de provende provençale… Soleil, mer, paysage méditerranéen par excellence, assaisonné d’une pointe de vent, conditions idéales pour l’ escapade de notre parisien de service…

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Il fallait bien ça pour digérer notre déjeuner à «  La Grotte ».


Callelongue se cache au fond d’une calanque, hameau, village de pêcheurs devenu avec le temps un havre pour marseillais désireux d’échapper au trafic et au brouhaha de la cité phocéenne.

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De l’autre côté de la colline, c’est le large. Et les jours de grand vent, la mer frappe sans pitié la roche dénudée. Point n’est besoin d’une observation subtile pour constater que la végétation reste maigre sur le gros dos du rocher.

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Mais partout, l’ingéniosité humaine nous surprend : Observez les barques amarrées sur les flancs du port naturel creusé entre les berges de la calanque. Des rails y ont été aménagés pour permettre la mise en cale sèche des barcasses, les treuils assurent la manœuvre …

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02/04/2010

les zeureux zélus

Eh non, je ne fais pas partie des « zeureux zélus » du jury du Livre Inter…

Allez savoir pourquoi, ils n’ont pas été convaincu par ma candidature, et pourtant, je m’étais appliquée !

Bon, il paraît qu’il y a eu plusieurs milliers de lettres de fervents enthousiastes, d’amoureux des livres, de lecteurs avides de partager… Alors forcément, en choisir 24 seulement, c’est en laisser beaucoup sur le bas-côté… Je vais m’en remettre d’autant mieux que je pourrai rester en famille le dimanche 6 juin et profiter de la présence de ma Nouchette pour lui faire sa fête !!! Alors bonne lecture aux zeureux zélus, qu'ils soient tous inspirés et choisissent The Best, pour la joie et le bonheur de tous!

Le dommage, c’est que j’aurais bien aimé partager enfin vraiment avec d’autres lecteurs… Je sais par les statistiques du site que certaines petites souris viennent régulièrement consulter mes notes de lecture… D’ailleurs, ce qui m’amuse, c’est que certains bouquins ont nettement plus la cote que d’autres… Mais ça, c’est normal et justement, fort intéressant. Ma frustration, si je peux me permettre d’émettre une petite réserve, c’est le manque de retour… La faute à … hum, enfin disons, au format que j’ai choisi puisque dans les listes de bouquins, il n’y a pas place pour des commentaires. Pourtant, ça me plaît bien de ranger mes bouquins dans la colonne de gauche, on les voit bien quand on ouvre la page, non ? Mais bon, Hautetfort s’en moque, des commentaires aux abonnés absents…
Pour compenser, j’ai ouvert lecturesdo, malgré la redondance, et voilà que les commentaires n’y sont guère plus prolixes… On passe se donner des idées, les réponses aux appréciations sont plus rares… J’avais donc envisagé la participation au prix du livre Inter comme une véritable occasion d’échanges entre passionnés…
Tant pis, ce sera pour une autre fois, peut-être…
L’année prochaine, je m’appliquerai à essayer de mieux vendre mon talent,  mon enthousiasme,  mon humour,  ma personnalité,  mes qualités,  mes défauts, les livres que j’ai lu,  ceux que je veux lire,  les auteurs que j’aime, ceux que je ne supporte pas,  je lirai tous les livres du président du Jury,  je cirerai toutes les chaussures des membres de la rédaction (lol??!), j’écrirai tous les jours la lettre pour me vanter… Ouf, d’ici là, j’ai un an pour m’entraîner, et puis surtout  retourner à  mes jardins, celui de rocaille et l'Autre, mes bouquins, mes envies, mes désirs, à mon rythme, à mes joies quotidiennes et mes tentatives d’écriture… À ma vie formidable et mes amours de chair autant que de papier…

01/04/2010

Érik Johannson




snurrtrappa.jpg Grand merci à Annick,  j’ai pêché ce matin dans ma boîte mail un diaporama d’ Érik Johannson.
Intriguée et amusée par le talent de ce photographe créateur, je vous propose ce soir ceux des clichés dont l’univers me paraît le plus intéressant…

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Le rêve et le fantasme qui s’en dégagent m’ont séduite

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Petit clin d’œil aux maîtres de l’illusion, Escher ou Magritte.

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Parfois, l’inventivité se teinte d’humour

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…  Un zeste  de provocation  :

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Évidemment, ces clichés sont obtenus par  trucages numériques, mais l’inspiration onirique qui anime ce jeune photographe suédois  mérite qu’on s’y arrête,non ?…

L’ensemble des images est disponible  sur le site
http://www.alltelleringet.com/


Vous aurez constaté sans peine que je ne maîtrise pas les formats de clichés, une bonne pratique de mauvaise foi voudrait que je prétende " c'est pour mieux vous allécher, mes enfants"… je ne saurais trop vous conseiller d’aller y jeter un coup d’œil, si vous n’avez pas la chance de recevoir par courriel le diaporama qui continue de circuler…