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22/10/2011

Hotel ***

journal, chiens,  animaux, soins,

 

Les nuits fraichissent, même sous nos étoiles varoises.

D'ailleurs, les gifles du Mistral ont crûment porté un sort aux espérances nautiques des profiteurs du Sud.

La semaine dernière, GéO se vantait encore des séances piscine partagées avec Copain et Guss, 

C'en est bel et bien fini, cette fois.

Fraîcheur nocturne, c'est aussi portes ouvertes à notre petit peuple , nuitées au chaud dans la cuisine,

au plus près des maîtres…

Soit, mais GéO avait mieux dans sa besace de bricoleur:

Ses mains habiles ont bâti un abri contre la bise.

Copain s'y est faufilé sans hésiter.

Guss s'est montré déconcerté, il a pointé le nez d'abord, pas encore décidé.

 Mais quelques croquettes prestement lancées ont eu raison de ses réticences.

Les voilà installés dans un  hotel*** rutilant.

 

09/12/2008

Petite Chronique animalière et végétale…

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La chronique Petit Peuple étant très souvent consacrée à Copain, ce qui inclut par force Zuco, il me semble juste, pour une fois, d’ouvrir avec cette photo de Gros Mimi dans sa posture préférée.
Et s’il est vrai qu’elle se tient plus souvent encore ventre en l’air, cette fois c’est le support de sa sieste qu’il faut considérer : Mademoiselle repose sur le toit de ma bonne vielle Saxo, comme tous les après-midi d’hiver. Elle a trouvé là un trône ensoleillé à sa hauteur, en position dominante, d’où elle nargue les chiens voisins, que le grillage retient dans leur jardin. Comme ils aimeraient la déloger et s’offrir une course à l’échalote! Impossible, elle se sait bien à l’abri et dort profondément sur la Méridienne improvisée, ses songes bercés par les aboiements inefficaces de Cliff et Jim.

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Abandonnant Gros Mimi à la délicatesse de ses rêves, nous sommes partis profiter de la douceur du temps dans la colline. Quand, au retour de notre visite aux chevaux qui habitent tout en haut , nos compagnons à quatre pattes s’éclipsent dans le foisonnement des buissons. Ils ne sont pourtant pas bien loin, en arrivant à la hauteur du renfoncement où ils ont bifurqué, nous les découvrons immobiles, nez en l’air, en position d’arrêt, ce qui, vous en conviendrez, est rare pour ces deux chasseurs de mouches…

Nos lurons ont repéré la silhouette d’un intrus sur le tronc de l’arbre couché.
Exténué ou blessé, le canard s’est installé sur ce lit de fortune, où il espère s’abriter des prédateurs. Il est rare ici de croiser des canards sauvages, mais il est vraisemblable qu’il s’agit d’un migrateur, à bout de forces, il ne s’est pas enfui à l’approche des chiens ni à la nôtre.
Pourra-t-il reprendre des forces et retrouver ses compagnons de volée ?

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Achevons ce petit tour de nos créatures familières par quelques clichés, témoignage de la coquetterie de L’Hibiscus Monstrueux :
Corolles épanouies, sa parure illumine toujours notre séjour. Leur pistil se dresse fièrement, deux jours durant, avant que les pétales n’entament une valse mortifère, ils se rétractent alors lentement, se vissent en une dernière spirale avant de s’abandonner jusqu’au sol, où je les recueille chaque matin. D’autres boutons ont alors éclos et l’Hibiscus Monstrueux jette de nouveaux feux dans notre décor.

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Et, puique nous sommes dans le vermillon, un dernier mot pour saluer ma Cendrillon, chaussée de rouge comme la Dorothée du Magicien D'Oz, et qui ce matin, sema sur les rails du métro sa pantoufle de charme. Elle me raconte dans un mail plein d'humour la nonchalance des employés de la RATP, si peu pressés de secourir les voyageuses aux pieds nus… Ah le service public , son efficacité et le charme de sa compassion… Je ne m'en vais pas vous narrer ici le détail de la mésaventure, Nouchette l'a si bien fait qu'il me semblerait maladroit et malhonnête de me substituer à son écriture… mais vous manquez un Grand Moment, croyez moi…

12/11/2008

Champignons…

L’automne ici s’installe posément, il s’octroie des étapes, dresse son décor à touches furtives. Les jaunes timides des plants de vignes ont achevé de virer au roux alors même que les ceps se dénudaient. Le mûrier platane sur la pelouse pleure encore son feuillage, à larmes comptées, sans ardeur. Les brouillards matinaux ne sont porteurs d’aucune gelée, et si GéO a rentré nos monstrueuses plantes d’intérieur avant son départ pour la Seine et Marne, aucune urgence ne gâte la floraison du Datura au bout de la piscine. Mais sous un bouquet de chêne vert, j’ai trouvé hier un bolet tout rond, chamois au pied veiné et ventru, qui me faisait de l’œil. Du coup, nous sommes partis en chasse dans la colline.

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Mais il est difficile de partir en promenade sans nos deux pensionnaires.
Nous voici donc sortis du sentier pour visiter un peu le maquis qui s’étend derrière les maisons, sans pousser notre exploration trop loin car les chasseurs locaux observent une curieuse coutume : ils font entendre leurs armes dans le couvert le matin de très bonne heure, respectent la trêve de la sieste, puis ils reviennent à l’heure des vêpres, quand les enfants quittent l’école et que le jour commence à décliner. Il y a là une logique qui m’échappe, mais le fait est récurrent et nous surveillons nos chiens du coin de l’œil tout en fouillant du regard, entre les pieds des cistes, le sol tapissé de feuilles mortes et de bouquets de thym.

Alors que quelques spécimens de bolets ballottent déjà dans mon pochon, nous sommes avertis d’une rencontre imminente par le tintinnabulement de clochettes qui semble monter vers nous. Copain et Zuco tournent autour des maîtres depuis le début de la balade, plus préoccupés de nous garder groupés et de humer profondément les touffes de plantes sauvages qui leur racontent sans aucun doute bien des nouvelles du maquis. Le temps de réaliser que les grelots appartiennent sans doute à d’autres chiens baladeurs, voilà deux superbes lévriers afghans qui franchissent le sommet du sentier et descendent élégamment dans notre direction. Immédiatement, nous poussons chacun notre cri de ralliement :
- Zuco, aux pieds! crie GéO
- Copain ici ! crie ma voix…
Que croyez- vous qu’il arrive alors?
Zuco, docile, entreprend tout de suite un demi-tour sur sa trajectoire… Et Copain, victime brutale d’un accès de surdité, se laisse emporter par sa curiosité, apparemment bien indifférent à mon autorité naturelle. Le sifflement impératif du maître ne produit pas davantage d’effet sur son désir de sociabilité…
- Allons saluer ces nouveaux amis, se dit-il, peu soucieux de répondre à nos appels.
Dans l’autre camp, les réflexions ont certainement la même nature, car les deux échalas aux pelisses immaculées exécutent un démarrage immédiat parfaitement synchronisé. Copain est impressionné, il infléchit instantanément sa course et prend momentanément la tête du train, objectif FUIR. En un éclair, les trois canidés ont disparu de notre champ de vision, nous laissant pantois devant le maître joggeur un peu lent pour ses chiens turbos.

Le joggeur s’excuse, il n’imaginait pas…Nos appels restent vains évidemment, il faut donc suivre le convoi, malgré notre retard avéré. GéO reste en arrière-garde, accompagné du fidèle Zuco … Toujours armée de mon pochon à champignons, j’embraie sur les traces du coureur de maquis et nous remontons le sentier en suivant la direction approximative du premier convoi. Le Joggeur se montre plus véloce, il accélère et me laisse rapidement en arrière. Au débouché de la fourche, il m’attend toutefois pour me signifier qu’il a entrevu une ombre noire sur le chemin de gauche et qu’il pense que c’est mon ratier. Ses champions ont poursuivi vers la plaine qui rejoint le versant de Seillon, droit devant. Ouf, Copain le malin a réussi sa diversion et bifurquant vers les maisons et le parcours habituel qu’il connaît bien.
D’ailleurs, je remonte cette allée depuis quelques secondes à peine quand j’entrevois au loin la petite boule noire qui galope ventre à terre dans ma direction… Il a eu si peur qu’il me saute dans les bras, et passe le reste de la promenade à sauter sur mon ventre, implorant du regard la protection de l’embrassade maternelle. Je ne sais qui a eu le plus peur de nous deux, mais je crois bien que notre Copain a reçu hier une petite vaccination anti-fuite…

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14/10/2008

Au cirque

Petit reportage consacré cette fois au quotidien du pensionnaire équilibriste.

En effet, notre Copain progresse hardiment dans la découverte de ses multiples dons.
La semaine dernière l'animal a jugé utile de s'introduire dans l'espace piscine, pourtant toujours fermé, malgré la bâche d'hivernage que j'imaginais suffisamment protectrice. Que nenni! Profitant de mon absence, GéO lisait tranquillement sur la terrasse, d'où l'on a un petit angle de vue sur la piscine, derrière l'arche des cyprès. Allez savoir pourquoi, son regard est tout à coup attiré par une impression de remous et de vagues sur la matière bleue, habituellement rigide. Intrigué, notre GéO lache son magazine et s'avance vers le phénomène, redoutant un brusque Tsunami au fond de l'onde enfermée. Au détour des cyprès, son regard capte l'étendue du bassin.
Qui trônait au milieu de la belle bâche? Indifférent aux mouvements qu'il provoquait sur ce trampoling improvisé, notre Copain y avait emmené la fameuse baballe rouge, et , profitant de la flaque centrale due aux intempéries de la semaine passée,s'efforçait de recréer les exercices estivaux de noyade- sauvetage du précieux objet. je vous laisse à penser et imaginer la série harmonieuse d'imprécations que l'expérience a déclenchée… "Regarde Ton chien……"

Tenace et guère découragé par l'incompréhension que rencontrent ses efforts d' apprenti jongleur, Copain reproduit les conditions nécessaires de trempage de la boule caoutchoutée dans la cuvette- abreuvoir qui reste à leur disposition… Nouvelle réprimande du Maître, qui n'admet pas que la dite baballe enrobée de terre mouillée souille le récipient et oblige à renouveler l'eau trois fois par jour!

Cet après-midi, notre pause café sur la terrasse a donné lieu, comme d'habitude aux "lancer-rapporter" de l'objet, ou ce qui en reste. Comme une vieille pelure d'orange rouge, fendue sur les trois-quarts de sa circonférence, la baballe se prête encore au jeu, mais elle rebondit nettement moins bien… Il faudra songer à lui trouver une remplaçante.
Un lancer malheureux du maître envoie l'objet dans les bambous. Les astuces du Copain sont si drôles que je ne résiste pas à l'envie de monter chercher l'appareil… Voici donc les témoins de l'expérience suivante.

Copain chien de cirque, il a de l'avenir ce petit…

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08/09/2008

Oh les sales bêtes !!!

Ou comment vous aider à apprécier la reprise, les transports en commun, la grisaille et l’humidité, puisqu’elles envahissent nos côtes et refroidissent les ardeurs nautiques des baigneurs…

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Et côté jardin, me direz-vous ?
Des trous.
De gros trous que nous découvrons tous les matins, véritables pièges à entorse.
Quel est le Yéti qui sème ses empreintes en nos terres desséchées ?


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Bon, pour les racines de Bambou mises à nue, je ne dis rien, c'est tellement envahissant, le bambou, que l'allée est en train de sauter… Mais le réseau du goutte à goutte souffre aussi de l'opération évidemment.
Et la Sainte Patience de GéO , gravement éprouvée par la mise à sac systématique des loupiotes sensées éclairer les bordures des allées ?
Je le savais bien, que c'était une bêtise, cette petite boule noire… Mais il se montre tellement affectueux, le Joyeux Drille, avec la baballe à lancer, dix fois, cent fois, mille fois par soirée… Depuis le départ d'Aurélien, nous ne sommes plus que deux à essayer de le fatiguer un peu… Qu'il se repose un peu, nom d'un chien!

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15/07/2008

L'Homme au chapeau et à la carabine…

On dirait qu’il s’est caché sous l’ombre de l’arbre.
Ça doit faire plus d’une heure maintenant qu’il est tapi sur son vieux fauteuil, quasi immobile, le visage dissimulé sous la double pénombre du chapeau et du Mûrier.
Les jambes semi allongées devant son siège, les bras reposants sur les accoudoirs blancs qui tranchent sous le hâle prononcé de sa peau, le torse nu, luisant de sueur. Du haut de son corps, de sa tête, on ne perçoit que le tissu verdâtre du couvre-chef, posé là comme pour masquer son regard de chasseur.

John Wayne domestique, il adosse sur ce vieux siège sa silhouette massive, moins tassée par les ans que par sa volonté de marquer son ascendant sur ce bout de terre rongée de chaleur. Son immobilité dresse une barrière tacite entre les femmes qui s’agitent dans la maison et sa veille hiératique sous l’arbre unique de ce coin de jardin.
L’air s’alourdit encore à mesure que s’égrène le temps de cette matinée torride.
Quelques mouches bourdonnent autour de lui, il n’y prête aucune attention, pas même quand l’une d’elles se pose effrontément sur son coude et entreprend insolemment la descente de son avant-bras. Elle progresse vers sa main, légère, effleurante, chatouillante. Il attend la dernière limite de l’insupportable avant de lever brusquement son poignet, décollant son bras tout entier de l’engin qui barre sa poitrine ruisselante. Dans la pénombre du feuillage, éclaircie un bref instant par une brise ténue, la crosse en bois dévoile la teneur de l’objet qu’il berce ainsi silencieusement depuis si longtemps.

Calée par son genou droit et l’accoudoir du fauteuil, la carabine repose comme un enfant sur son torse, embrassée par ses mains jointes. S’est-t-il assoupi ainsi, comme une mère exténuée d’avoir bercé son bébé jusqu’à l’endormissement ? S’est-il seulement imprégné des souffles brûlants de l’été et des bruissements des insectes ? S’est-il plutôt retranché de la société des hommes et de leurs vaines occupations communes ?
L’homme est seul, immobile, silencieux, abandonné dans l’ombre feuillue à l’emprise de ses sombres desseins.
Car, si l’œil de l’observateur zoomait subrepticement sur la silhouette figée là-bas, une foule de détails à peine perceptibles trahiraient l’extrême tension du chasseur. Posté depuis le début de la matinée, il guette patiemment l’ennemi, attentif à ne pas trahir sa présence et la menace qu’il fait peser sur ceux qui nuisent à sa tranquillité.
Il s’est établi veilleur et gardien, défenseur du lieu et sa stratégie de sentinelle se fige dans l’attente de l’attaque.

Il a admis qu’il devra patienter longtemps, résister à l’impérieux besoin de se dégourdir, à la soif et à la chaleur, mais après ces dernières semaines d’attaques sournoises, de faits accomplis insidieux, de dégâts furtifs, il s’est levé déterminé à en finir une bonne fois pour toutes, quel qu’en soit le prix.
Et le voilà à son poste, sourd au chant des cigales, indifférent au léger clapotement de l’eau dans la piscine toute proche, inaccessible aux bavardages confus qui bruissent de la maison et rebelle aux appels l’invitant à se rafraîchir.

Dans cinq minutes, un quart d’heure tout au plus, il sait qu’elles reviendront, les sales bêtes, elle remonteront du haut de la colline et passeront par-dessus la cime des Rouvres, marqueront sans doute une halte dans la ramure du grand chêne blanc, derrière la haie de la piscine, puis en chœur, en duo charmeur, elles viseront leur étape suivante, l’antenne râteau qui trône encore sur le pignon, à l’aplomb de la terrasse, balançant avec mépris leur fiente dégoulinante sur le seuil de la cuisine.
Alors, et alors seulement, certain de punir les vraies coupables, il épaulera lentement son arme déjà chargée de cartouches au gros sel, il visera calmement, sûr de son bon droit, et si la chance est avec lui et ne brouille pas son regard perçant par une goutte de sueur traîtresse, il fera voler quelques plumes de leurs queues…

Les pies alarmées par cette attaque inattendue se passeront le mot, alerteront leurs escadrons multiples du danger de cette halte, et l’armée entière des dames noires s’exilera quelques jours, quelques semaines peut-être, laissant la place aux pigeons et tourterelles avides de les remplacer, jusqu’à ce que notre chasseur reprenne son poste et défende son territoire.
Dieu, que le combat de l’Homme et de la Nature est éternel!

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07/07/2008

Copain d'O

Pour fêter dignement et convivialement notre 7ème anniversaire de mariage, (eh oui! ça passe vite, d'autant que GéO ne manque jamais d'effectuer le compte à sa façon: sept ans chacun, ça fait quatorze !) je vous offre de partager un grand moment de notre passe-temps favori.

Les séquences ont été tournées sur une dizaine de jours, ce qui explique que la silhouette de copain évolue. Il grandit très vite, et alors qu'il s'est installé sur mes genoux pour visionner le résultat de la compression ce matin, je réalise qu'il tient à peine sur mon fauteuil, et qu'il va devoir abandonner cette posture pour les câlins-bureau. J'y gagnerai en aisance d'accès au clavier, soyons réalistes, ce que je vais perdre en moment chaudoudoux.
Il semble suivre ses propres aventures avec une attention soutenue. Décidément,nul n'échappe à son époque, même nos petits peuples s'accoutument à la télé-réalité ! Esclave de la caméra, Cabot comme pas deux, Copain inscrit son destin dans le courant du XXIème siècle.

Copain, descendu de mon fauteuil, s'est couché sur mes pieds, ce qui montre suffisamment la rancune qu'il nous voue.
Une remarque qui nous amuse sur son caractère manifestement tendre: il joue volontiers avec GéO, Père Nourricier s'il en est, mais dès que j'entre à mon tour dans l'eau, il se niche dans mes bras et liche abondamment mon visage. Se peut-il qu'il fasse un rapport entre l'eau et l'élément tendresse? Comme un enfant, il nous attribue un rôle différent, est-ce une réponse à nos comportements particuliers ou à nos natures homme et femme?

Avertissement aux spectateurs: Le film ci-dessous a été réalisé sans trucage ni barbarie, ceci pour rassurer les amis de B B et autres censeurs.



26/06/2008

Torpeurs…

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Que faire d'autre?
Les maîtres sont occupés, les visites se succèdent , il y a trop de monde pour nous …
Le perron du bureau offre un havre de calme
Quelques minutes volées où nous veillons sur la tranquillité des lieux…


Zuko prend tout de même quelques risques en accompagnant les maîtres au bord du bassin:

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Copain réfléchit , teste…
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La suite… il semble y prendre goût!

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